Maladies psychiatriques inventées.
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Sevrage des benzodiazépines, antidépresseurs et somnifères - Forum de soutien et d'entraide :: VISITEURS :: Liens d'information : ouverts au public .
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Maladies psychiatriques inventées.
http://www.santeglobale.info/maladies-psychiatriques-inventees/
....
Des poisons qui s’appellent des « remèdes »
Alors qu’un remède est censé combattre une maladie, une drogue psychiatrique n’est souvent qu’une béquille à laquelle on sera, par la force des choses, fidélisé à vie. La drogue devient si intimement liée à la vie de la personne qu’elle ne peut concevoir de s’en passer.
Un article paru dans Washington Post en juillet 2001 rapporte que, d’ordinaire, une nouvelle création pharmaceutique répond à des troubles existants, alors qu’en psychiatrie, tout l’art consiste à « trouver de nouveaux troubles pour des produits existants ».
Le drame est que l’on prescrit maintenant des drogues pour n’importe quoi : problème d’apprentissage, de comportement, de délinquance juvénile, de tabagisme, de craintes multiples et diverses, d’angoisse, de réinsertion, et, comble… de décontamination des toxicomanes !
Le leitmotiv est que cette médication aide à prendre la vie en main. Mais aucune de ces potions ne guérit les problèmes, et encore moins les causes, créant par ailleurs systématiquement des effets secondaires parfois bénins, parfois horribles.
Alors que ces produits s’adressent principalement au corps, les drogues psychiatriques modifient l’humeur, et sont susceptibles de changer de manière imprévisible, non seulement notre façon de penser, de sentir et d’agir, mais aussi de voir.
Voici la liste des effets secondaires physiques et mentaux pouvant être générés par les psychotropes :
Spasmes, mouvements grimaçants, grande agitation, psychose, réactions maniaques, attaques, dysfonctionnements sexuels, confusion, faible concentration, troubles de la mémoire, sentiment de panique, hallucinations, cauchemars, pensées suicidaires et hostilité.
Ils sont aussi générateurs de dépendance et le sevrage peut être encore plus difficile que celui des drogues illégales.
L’arrêt de ces psychotropes peut provoquer :
Anxiété, agitation, réactions hautement émotives, insomnie, dépression sévère, hallucinations et agressivité.
La preuve la plus éclatante de la similarité entre les drogues psychiatriques et les drogues illégales est une même dépendance envers l’une et l’autre.
NOTA : Les benzodiazépines, surnommées « la drogue des ménagères », manifestent leur effet de dépendance au bout de 14 jours de consommation régulière. Les médecins attestent que les patients « tributaires de ces poisons » se comportent comme tout consommateur de « produits prohibés ». Le sevrage de tels produits est souvent plus difficile et plus long que pour l’héroïne (déclaration du Dr Conway Hunter J.).
Facteurs pouvant rendre un enfant hyperactif :
réactions allergiques,
taux élevé de plomb dans le sang,
taux élevé de mercure (vaccins multiples),
taux élevé de pesticides (aliment non biologiques),
trop de sucre,
alimentation fast-food (action directe sur la violence).
Mais il y a aussi les enfants indigo, nouveau « peuple de petits mutants ». Beaucoup de ces petits génies ont été littéralement massacrés par camisole chimique.
Voir les ouvrages :
Indigo… ces êtres différents, Sélène et Cyrille Odon – Éd. I.E.R.O.
Indigo… terre nouvelle, Sélène et Cyrille Odon – Éd. I.E.R.O.
L’enfant Indigo, Arthur Colin – Éd. du Rocher.
L’œil du monde et l’enfant Indigo, Arthur Colin – Éd. du Rocher.
Des chiffres alarmants
Entre 1990 et 1996, les benzodiazépines ont provoqué 1 810 décès en Angleterre, chiffre supérieur à celui occasionné par l’héroïne, la cocaïne et la méthadone réunies, lesquelles ont causé le décès de 1 623 personnes.
En 1999, plus de 17,5 millions d’ordonnances pour des tranquillisants mineurs ont été rédigées en Angleterre. À noter que 1,6 million de patients qui ont suivi un traitement de 4 semaines sont devenus dépendants.
En Suisse, entre 1985 et 1998, le chiffre d’affaires de la vente d’antidépresseurs s’est multiplié par 6.
Par ailleurs, entre 1995 et 1998, la vente d’antidépresseurs, tranquillisants et neuroleptiques rassemblés a augmenté de 40 %.
Entre 1992 et 1998, les ordonnances de stimulants ont triplé en Colombie Britannique (Canada). Plus de 21 000 jeunes entre 6 et 15 ans ont été mis sous stimulants psychiatriques en 1999.
Entre 1997 et 2001, les ordonnances de drogues employées pour traiter le soi-disant « trouble d’hyperactivité avec déficit de l’attention » (le Thada) ont connu une croissance de 37 % aux États-Unis. Depuis 1994, la consommation allemande de stimulants pour le Thada été multipliée par 10.
En 2000, elle était le double de celle de 1999. En Amérique latine, pendant ce même temps, les ventes de neuroleptiques ont connu un accroissement de 20 %. Entre 1990 et 1998, les importations de stimulants pour le Thada ont triplé au Mexique, ce qui donne 159 millions de doses par an.
Depuis, il est de plus en plus difficile d’accéder aux chiffres qui en outre sont censés être en hausse constante…..
Des générations d’enfants drogués par la médecine
De nos jours, rares sont les parents et les enseignants qui n’ont pas été confrontés à la mode des psychotropes pour enfants. Des millions de parents dans le monde dont les enfants prennent des drogues, ont fait confiance à des conseillers. La cible principale de ce marché : le Thada (Trouble d’Hyper Activité avec Déficit de l’Attention).
On affirme aux parents qu’il s’agit d’un déséquilibre chimique bien connu dans le cerveau (!)… qui nécessite un remède constant. Ainsi, des millions d’enfants sont forcés de prendre une drogue plus puissante que la cocaïne pour une maladie au diagnostic frauduleux dont l’existence n’a jamais été prouvée (voir l’étude publiée en 2001 par le Journal de l’Association Américaine de Psychiatrie).
Selon le Physician Desk Reference Guide (équivalent américain du Vidal français), les effets possibles du principal médicament pour « traiter » le Thada sont :
Augmentation du rythme cardiaque,
Augmentation de la tension artérielle,
Risque de suicide en cas de sevrage, de même qu’avec les amphétamines,
Facteur contribuant à provoquer plus tard une dépendance à la cocaïne.
Attention parents : voici les symptômes incriminés dans le Thada
Selon le DSM (Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux), le Thada inclut les symptômes suivants :
fait des fautes d’étourderie dans ses devoirs scolaires ou d’autres activités.
ne parvient pas à prêter attention aux détails,
travail souvent brouillon,
donne l’impression d’avoir l’esprit ailleurs et de ne pas écouter,
manque de concentration dans les jeux,
ne parvient pas à mener à bien ses obligations scolaires ou domestiques.
Ceci associé à certains troubles comportementaux :
remue souvent les mains et les pieds,
se lève souvent dans des situations où il est supposé rester assis,
court et grimpe partout dans des situations inappropriées,
est souvent sur la brèche,
agit comme s’il était monté sur ressorts,
parle sans cesse.
Selon le Dr Sydney Walker, psychiatre et neurologue, auteur du livre The Hyperactivity Hoax (L’imposture de l’hyperactivité) : « Lorsqu’un enfant consulte un médecin qui s’en remet au DSM, il est presque sûr de ressortir avec une étiquette psychiatrique et une ordonnance de circonstance, même s’il va tout à fait bien. Cette politique de coller, bon gré mal gré, une étiquette de malade mental sur tout le monde représente un sérieux danger pour l’enfant sain. En effet, presque tous les gamins présentent des symptômes suffisants pour recevoir une étiquette de DSM et un médicament psychiatrique. »
Le Dr Fred Banghman Junior, pédiatre et neurologue, dit qu’il s’agit d’une abjecte félonie de la part des parents et des enseignants que de qualifier un simple comportement d’enfant de maladie. Ces enfants croient alors que quelque chose ne va pas dans leur cerveau et qu’ils sont incapables de se contrôler sans une pilule.
Constat scolaire dans le monde
En Angleterre, en Australie, au Canada, aux États-Unis et maintenant au Mexique, de plus en plus d’écoles font penser à des cliniques psychiatriques. Des enfants attendent en file leur stimulant quotidien. À quand la même chose en France ?
Le congrès sur le Thada, des instituts nationaux américains de la santé, fait pourtant part du constat que les enfants soumis aux prescriptions de psychotropes continuent à présenter des problèmes de comportement. Mais le plus grave, c’est que de récentes études montrent que 46 % des enfants qui consomment des stimulants psychiatriques pour le Thada sont susceptibles de commettre un crime et, pour 36 % d’entre eux, ce sera plutôt deux qu’un.
Selon l’administration anti-drogue américaine, la consommation sauvage d’un médicament classique conseillé pour le Thada est devenue un problème majeur. On augmente ses effets en le réduisant en poudre, puis en le sniffant ou en se l’injectant. Il se vend maintenant au marché noir entre 5 et 10 dollars la pilule sous les noms de « Vitamine R » ou « R-ball », ou « Cocaïne du pauvre ».
Presque tous les criminels célèbres du XXe siècle sont passés entre les mains de psychiatres avant de commettre leur meurtre. Nous épargnerons ici aux lecteurs une longue liste de carnages érigés en exemple, où différentes drogues psychiatriques ont été reconnues déterminantes par les tribunaux.
NOTA : Dans l’US Air Force, les candidats pilotes qui ont été traités pour le THADA dans leur jeunesse ne sont pas acceptés.
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Dr. Christian Tal Schaller
Auteur: Dr. Christian Tal Schaller
Né le 11 septembre 1944 à Genève, d’un père pasteur protestant calviniste et d’une mère moraliste et intransigeante, Docteur Tal Schaller est un médecin généraliste qui a dévoué la plus grande partie de sa carrière à la médecine holistique. Naturopathe, homéopathe, acuponcteur, ostéopathe, chamane et psychothérapeute, il est un véritable expert de la médecine alternative. Pionnier de la santé, penseur avant-gardiste, conférencier et écrivain, il a publié de nombreux ouvrages de référence sur les thèmes de la spiritualité et la santé holistique. Il nous invite à sortir de l’hypnose collective pour vivre dans la joie et la conscience. Lire la suite
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Johanne RAZANAMAHAY et Christian Tal SCHALLER
En France
« Le Chant des Arbres »,
2875 chemin du Radelier
F-26700 PIERRELATTE
En Suisse
17 chemin des Deux Communes,
CH 1226 THONEX (Genève)
Tél. Johanne : 06 87 74 69 78
Tél. Tal : 06 85 02 25 37
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Le drame est que l’on prescrit maintenant des drogues pour n’importe quoi : problème d’apprentissage, de comportement, de délinquance juvénile, de tabagisme, de craintes multiples et diverses, d’angoisse, de réinsertion, et, comble… de décontamination des toxicomanes !
Le leitmotiv est que cette médication aide à prendre la vie en main. Mais aucune de ces potions ne guérit les problèmes, et encore moins les causes, créant par ailleurs systématiquement des effets secondaires parfois bénins, parfois horribles.
Alors que ces produits s’adressent principalement au corps, les drogues psychiatriques modifient l’humeur, et sont susceptibles de changer de manière imprévisible, non seulement notre façon de penser, de sentir et d’agir, mais aussi de voir.
Voici la liste des effets secondaires physiques et mentaux pouvant être générés par les psychotropes :
Spasmes, mouvements grimaçants, grande agitation, psychose, réactions maniaques, attaques, dysfonctionnements sexuels, confusion, faible concentration, troubles de la mémoire, sentiment de panique, hallucinations, cauchemars, pensées suicidaires et hostilité.
Ils sont aussi générateurs de dépendance et le sevrage peut être encore plus difficile que celui des drogues illégales.
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Anxiété, agitation, réactions hautement émotives, insomnie, dépression sévère, hallucinations et agressivité.
La preuve la plus éclatante de la similarité entre les drogues psychiatriques et les drogues illégales est une même dépendance envers l’une et l’autre.
NOTA : Les benzodiazépines, surnommées « la drogue des ménagères », manifestent leur effet de dépendance au bout de 14 jours de consommation régulière. Les médecins attestent que les patients « tributaires de ces poisons » se comportent comme tout consommateur de « produits prohibés ». Le sevrage de tels produits est souvent plus difficile et plus long que pour l’héroïne (déclaration du Dr Conway Hunter J.).
Facteurs pouvant rendre un enfant hyperactif :
réactions allergiques,
taux élevé de plomb dans le sang,
taux élevé de mercure (vaccins multiples),
taux élevé de pesticides (aliment non biologiques),
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Mais il y a aussi les enfants indigo, nouveau « peuple de petits mutants ». Beaucoup de ces petits génies ont été littéralement massacrés par camisole chimique.
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Des chiffres alarmants
Entre 1990 et 1996, les benzodiazépines ont provoqué 1 810 décès en Angleterre, chiffre supérieur à celui occasionné par l’héroïne, la cocaïne et la méthadone réunies, lesquelles ont causé le décès de 1 623 personnes.
En 1999, plus de 17,5 millions d’ordonnances pour des tranquillisants mineurs ont été rédigées en Angleterre. À noter que 1,6 million de patients qui ont suivi un traitement de 4 semaines sont devenus dépendants.
En Suisse, entre 1985 et 1998, le chiffre d’affaires de la vente d’antidépresseurs s’est multiplié par 6.
Par ailleurs, entre 1995 et 1998, la vente d’antidépresseurs, tranquillisants et neuroleptiques rassemblés a augmenté de 40 %.
Entre 1992 et 1998, les ordonnances de stimulants ont triplé en Colombie Britannique (Canada). Plus de 21 000 jeunes entre 6 et 15 ans ont été mis sous stimulants psychiatriques en 1999.
Entre 1997 et 2001, les ordonnances de drogues employées pour traiter le soi-disant « trouble d’hyperactivité avec déficit de l’attention » (le Thada) ont connu une croissance de 37 % aux États-Unis. Depuis 1994, la consommation allemande de stimulants pour le Thada été multipliée par 10.
En 2000, elle était le double de celle de 1999. En Amérique latine, pendant ce même temps, les ventes de neuroleptiques ont connu un accroissement de 20 %. Entre 1990 et 1998, les importations de stimulants pour le Thada ont triplé au Mexique, ce qui donne 159 millions de doses par an.
Depuis, il est de plus en plus difficile d’accéder aux chiffres qui en outre sont censés être en hausse constante…..
Des générations d’enfants drogués par la médecine
De nos jours, rares sont les parents et les enseignants qui n’ont pas été confrontés à la mode des psychotropes pour enfants. Des millions de parents dans le monde dont les enfants prennent des drogues, ont fait confiance à des conseillers. La cible principale de ce marché : le Thada (Trouble d’Hyper Activité avec Déficit de l’Attention).
On affirme aux parents qu’il s’agit d’un déséquilibre chimique bien connu dans le cerveau (!)… qui nécessite un remède constant. Ainsi, des millions d’enfants sont forcés de prendre une drogue plus puissante que la cocaïne pour une maladie au diagnostic frauduleux dont l’existence n’a jamais été prouvée (voir l’étude publiée en 2001 par le Journal de l’Association Américaine de Psychiatrie).
Selon le Physician Desk Reference Guide (équivalent américain du Vidal français), les effets possibles du principal médicament pour « traiter » le Thada sont :
Augmentation du rythme cardiaque,
Augmentation de la tension artérielle,
Risque de suicide en cas de sevrage, de même qu’avec les amphétamines,
Facteur contribuant à provoquer plus tard une dépendance à la cocaïne.
Attention parents : voici les symptômes incriminés dans le Thada
Selon le DSM (Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux), le Thada inclut les symptômes suivants :
fait des fautes d’étourderie dans ses devoirs scolaires ou d’autres activités.
ne parvient pas à prêter attention aux détails,
travail souvent brouillon,
donne l’impression d’avoir l’esprit ailleurs et de ne pas écouter,
manque de concentration dans les jeux,
ne parvient pas à mener à bien ses obligations scolaires ou domestiques.
Ceci associé à certains troubles comportementaux :
remue souvent les mains et les pieds,
se lève souvent dans des situations où il est supposé rester assis,
court et grimpe partout dans des situations inappropriées,
est souvent sur la brèche,
agit comme s’il était monté sur ressorts,
parle sans cesse.
Selon le Dr Sydney Walker, psychiatre et neurologue, auteur du livre The Hyperactivity Hoax (L’imposture de l’hyperactivité) : « Lorsqu’un enfant consulte un médecin qui s’en remet au DSM, il est presque sûr de ressortir avec une étiquette psychiatrique et une ordonnance de circonstance, même s’il va tout à fait bien. Cette politique de coller, bon gré mal gré, une étiquette de malade mental sur tout le monde représente un sérieux danger pour l’enfant sain. En effet, presque tous les gamins présentent des symptômes suffisants pour recevoir une étiquette de DSM et un médicament psychiatrique. »
Le Dr Fred Banghman Junior, pédiatre et neurologue, dit qu’il s’agit d’une abjecte félonie de la part des parents et des enseignants que de qualifier un simple comportement d’enfant de maladie. Ces enfants croient alors que quelque chose ne va pas dans leur cerveau et qu’ils sont incapables de se contrôler sans une pilule.
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En Angleterre, en Australie, au Canada, aux États-Unis et maintenant au Mexique, de plus en plus d’écoles font penser à des cliniques psychiatriques. Des enfants attendent en file leur stimulant quotidien. À quand la même chose en France ?
Le congrès sur le Thada, des instituts nationaux américains de la santé, fait pourtant part du constat que les enfants soumis aux prescriptions de psychotropes continuent à présenter des problèmes de comportement. Mais le plus grave, c’est que de récentes études montrent que 46 % des enfants qui consomment des stimulants psychiatriques pour le Thada sont susceptibles de commettre un crime et, pour 36 % d’entre eux, ce sera plutôt deux qu’un.
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Auteur: Dr. Christian Tal Schaller
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En France
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2875 chemin du Radelier
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En Suisse
17 chemin des Deux Communes,
CH 1226 THONEX (Genève)
Tél. Johanne : 06 87 74 69 78
Tél. Tal : 06 85 02 25 37
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saber- Messages : 1216
Date d'inscription : 05/08/2016
Age : 50
Localisation : Nantes
Re: Maladies psychiatriques inventées.
très bon boulot saber, qui récapitule assez le bien, finalement, le fond de commerce des "ordures"; qui profitent du bizness, c'est affligeant, mais ça mérite d’être connu de tous, mais malheureusement tant que ca ne passe pas a la TV, a heure de grande écoute, personne ne te croit, je m’époumone à le faire autour de moi, car beaucoup de gens tombent dans le panneau pour un rien, et sous avis du gentil médecin traitant, mais je parle dans le vide personne n’écoute, mais nous on sait, alors on continuera a notre niveau, bises
Memphistopimpf- Messages : 540
Date d'inscription : 09/12/2015
Age : 50
Localisation : soulac sur mer
Re: Maladies psychiatriques inventées.
salut memphis,
il marche pas le lien de ton site cgscore?
il marche pas le lien de ton site cgscore?
leandros- Messages : 576
Date d'inscription : 20/01/2014
Age : 74
Localisation : Paris
Re: Maladies psychiatriques inventées.
Big pharma invente des maladies pour vendre ses antidépresseurs.
saber- Messages : 1216
Date d'inscription : 05/08/2016
Age : 50
Localisation : Nantes
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