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Drogues , vous ne lirez jamais ça ailleurs - Plantes médicinales - la génétique et dépendance

3 participants

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Drogues , vous ne lirez jamais ça ailleurs - Plantes médicinales  - la génétique et dépendance  Empty Drogues , vous ne lirez jamais ça ailleurs - Plantes médicinales - la génétique et dépendance

Message par admin therese Sam 13 Sep 2014 - 6:52

http://www.santenatureinnovation.com/drogues-vous-ne-lirez-jamais-ca-ailleurs/

Drogues : vous ne lirez jamais ça ailleurs
Chère lectrice, cher lecteur

La dépendance aux drogues dures est présentée comme une sorte de maladie qui frappe des victimes innocentes, à la manière de l'arthrite par exemple.

Victimes des dealers, les consommateurs de drogue qui souhaiteraient arrêter seraient obligés d'endurer d'intenses souffrances au moment du sevrage.

Il s'agirait donc d'une sorte de maladie, relevant de la médecine.

Mais je pense que c'est un mythe qui fait beaucoup de tort aux drogués, car :


cela leur fournit une sorte d'excuse, une « bonne raison » de rester dans leur état ;


ce qui est encore pire, on occulte la vérité sur l'addiction aux drogues, ce qui empêche de prendre des mesures adaptées pour prévenir leur usage et aider les personnes dépendantes à s'arrêter.


Les dangers du delirium tremens
Commençons par détruire le mythe selon lequel le sevrage serait une phase redoutable, horriblement douloureuse, qui expliquerait pourquoi les drogués ne peuvent sortir de leur état sans aide médicale.

Les scènes épouvantables décrites dans les romans et les films sur les personnes privées de drogue sont des inventions. Elles sont en fait inspirées par le sevrage de l'alcoolisme.

Le sevrage de l'alcoolisme provoque le delirium tremens, un état d'agitation avec fièvre, tremblements des membres, cauchemars et troubles de la conscience, qui survient chez 5 à 10 % des alcooliques, causant 15 % de mortalité avec traitement, et 35 % sans traitement [1].

C'est donc un problème gravissime. Il est absolument vital que l'alcoolique se fasse aider par un médecin.

Mais rien d'équivalent n'existe pour le sevrage des drogues comme le cannabis, la cocaïne et le LSD.

Vous pouvez vous-même vous en apercevoir lorsque vous lisez par exemple l'article suivant sur le sevrage de la cocaïne [2], ou celui-ci [3], ou encore dans l'article Wikipédia consacré au sevrage [4] : à chaque fois, on vous explique que le sevrage est très difficile, mais on ne vous décrit que des sensations particulières comme un état de malaise, de fatigue, d'anxiété, d'agitation, etc.

C'est parce qu'il n'y a pas de symptômes physiques dangereux semblables à ceux provoqués par le delirium tremens.


Le cas particulier de l'héroïne
L’héroïne est la seule drogue courante provoquant une phase de sevrage difficile (sans pour autant être dangereuse ni nécessiter de prise en charge médicale).

Le sevrage provoque un malaise ressemblant à une grippe, mais sans fièvre. Pour être très précis, les symptômes sont les suivants :


Douze heures environ après la dernière administration d'héroïne surviennent des bâillements, des larmoiements, de la rhinorée (nez qui coule), des sueurs et de l'anxiété.


Dans les 24 heures, le drogué a des crampes, des courbatures, il est irritable, nauséeux, tout en ayant du mal à dormir.


Vers le troisième jour, se déclenchent des problèmes digestifs (vomissements, diarrhée), le cœur bat plus fort et la pression sanguine augmente. Ensuite, les symptômes régressent et s'effacent environ au bout de huit jours.


Dans nos pays, la vie des héroïnomanes n'est jamais menacée par cette période de sevrage, certes pas très agréable, mais sans caractère de gravité particulier [5].

Alors, pourquoi est-il si difficile pour un drogué de s'arrêter ?

Eh bien, pour de très bonnes raisons, mais qui n'ont rien à voir avec la médecine et l'accoutumance physique.


La drogue facilite énormément la vie – en apparence
S'il est si difficile de convaincre un drogué d'arrêter, c'est parce que la drogue lui facilite énormément la vie – en apparence du moins.

Les médias parlent souvent, actuellement, des effets des drogues contre les douleurs physiques. Il est vrai que le cannabis est efficace dans ce domaine. L'Allemagne vient d'ailleurs d'autoriser sa culture et son usage comme anti-douleur [6]. L'héroïne aussi a un fort effet anti-douleur : elle est extraite de l'opium, tout comme la morphine couramment utilisée dans les hôpitaux et en soins palliatifs.

Mais les vraies raisons du succès des drogues dans notre société est qu'elles procurent un soulagement immédiat des douleurs morales : si vous vous sentez seul, moche, idiot, raté, prenez du cannabis, du LSD, de la cocaïne ou de l'héroïne, et vous vous sentirez à nouveau bien dans votre peau. Vous verrez la vie en rose.

La cocaïne en particulier vous donne l'impression d'être en superforme et capable de tout. Les braqueurs en prennent avant de faire un casse. Les stars du rocks et de la télé avant de monter sur scène. Dans les rave-parties, elles permettent aux « teufeurs » de sauter pendant une nuit et un jour sans dormir.

Ainsi, une personne qui ne connaît dans la vie que des échecs (échec scolaire, échecs sentimentaux, échecs professionnels…) pourra éprouver, grâce à la drogue, le sentiment de fierté, de bien-être et même de jubilation que l'on n’éprouve normalement qu'après avoir réalisé un exploit. La drogue permet de « faire la fête » même quand on n’a aucune raison de faire la fête (et qu'on aurait plutôt des raisons de se remettre en question).

Ce sentiment de fierté et de bonheur est indispensable à l'être humain. Sans lui, vous perdez votre envie de vivre. C'est pourquoi l’on parle de « dépendance psychologique » à la drogue, un phénomène qui est d'autant plus puissant que la personne est en difficulté dans la vie.


La spirale infernale
Les drogues permettent aux gens d'éviter de faire face aux défis de l'existence. Elles incitent le consommateur régulier à la passivité, au laisser-aller, à devenir indifférent à ses propres problèmes.

L'élève en échec scolaire échouera de façon encore plus certaine à ses examens. La personne seule verra ses chances de rencontrer l'âme sœur se réduire encore. Comme elles coûtent cher, la personne qui connaissait déjà des difficultés professionnelles et financières avant de découvrir cette solution « miracle » verra ses problèmes s'aggraver, et ce d'autant plus qu'il faut augmenter constamment les doses pour obtenir le même résultat.

Les conséquences humaines et sociales des drogues sont donc catastrophiques, allant jusqu'au divorce, à la clochardisation, et à la mort.

Tandis que les difficultés s'amoncellent dans la vie du drogué, la drogue lui fournit une échappatoire toujours plus nécessaire, pour fuir une réalité de plus en plus effrayante.

Et c'est pourquoi, lorsque vous rencontrez un drogué arrivé à un stade avancé, sa « vraie vie » est dans un tel état de délabrement qu'il est extrêmement difficile de le convaincre d'arrêter la drogue. Il ne désire tout simplement plus vivre dans le monde réel. Et on peut le comprendre.

C'est donc une spirale infernale. (la suite ci-dessous)


Annonce spéciale

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L'art de se soigner par les plantes
Les infusions de carvi ou d'anis étoilé sont très efficaces contre le mal au ventre ; l'huile essentielle de gaulthérie couchée remplace efficacement un anti-inflammatoire non-stéridien ; l'ail et et les feuilles d'olivier modulent l'hypertension artérielle... Retrouvez tous les conseils pour vous soigner efficacement et naturellement grâce aux plantes à découvrir ici.

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Suite de la lettre de ce jour :


Comment aider un drogué
Pour aider un drogué à arrêter, il faut d'abord le convaincre qu'affronter les problèmes de la vie réelle vaut la peine. C'est donc tout un travail sur le sens de la vie (pourquoi vivre, pour quoi vivre ?) qu'il faut entreprendre avec lui.

Il va falloir trouver des réponses aux (difficiles) questions suivantes :

Pourquoi accepter le malheur ? Pourquoi accepter la souffrance ? Comment surmonter les déceptions ? Pourquoi s'accepter comme on est, avec ses limites, ses défauts ? Comment transformer l'échec en une épreuve qui m'aide à progresser ? Pourquoi s'obliger à faire des efforts pour réussir ?

Inutile de vous dire que c'est un sacré problème, quand le drogué sait qu'il est si facile de trouver la même satisfaction en se roulant un joint, en sniffant un rail de coke, ou en se faisant une petite injection.

Trouver les arguments qui portent demande toute une réflexion sur la vie, mais aussi des mois, des années de présence, de discussions et d'activités avec le drogué. Lui faire découvrir la satisfaction du travail bien fait, le bonheur de l'amitié, de l'amour avec une vraie personne (et plus avec son joint ou sa seringue), les beautés du monde, de l'art, de la nature, d'une femme, d'un enfant…

Cet accompagnement ne peut donc se faire sans une solide démarche philosophique, ou même une forte spiritualité. Et il suppose, suprême difficulté, que la personne qui aide le drogué ait elle-même trouvé une certaine forme de bonheur dans une vie sans drogue, sans quoi le drogué en déduira que tous ses conseils ne sont que de beaux discours, utopiques, inapplicables…

De plus, le danger ne sera jamais écarté définitivement. Il suffit d'un coup de fatigue, d'une déception, d'une infection, d'une mauvaise nuit, d'une mauvaise rencontre… et la tentation de retomber dans la drogue resurgira.


« Grâce au cannabis, je me sens bien, même, et surtout, si tout déraille dans mon existence »
Dans les fascicules distribués dans les écoles, on met en garde les enfants en leur expliquant que les drogues peuvent entraîner une dépendance « dès la première utilisation ».

Ce n'est pas que leur corps prenne tout de suite l'habitude de la drogue au point d'en avoir à nouveau besoin physiquement. Comme on l'a vu, il n'y a pas de véritable dépendance physique pour la plupart des drogues.

Le problème, c'est que les adolescents, par nature fragiles, sont nombreux actuellement à mener des vies difficiles. Ils sont confrontés à une grande violence dans de nombreux quartiers, collèges, dans les transports en commun, dans des familles déchirées, avec comme horizon le spectre du chômage massif et un environnement profondément dégradé.

Le jour où ils découvrent qu'ils peuvent échapper à tout cela grâce à la « fumette » (ou autres drogues), il devient très difficile de les persuader que cela vaut la peine pour eux de rester dans le monde réel et trouver leur bonheur en relevant des défis.

« Grâce au cannabis, je me sens bien, même, et surtout, si tout déraille dans mon existence. » Plus besoin d'escalader une montagne, de gagner une course, ou un combat de boxe ; plus besoin de se former à un métier qui leur plait ; plus besoin de réussir leurs études ; plus besoin de devenir virtuose au piano ; plus besoin de trouver un petit ami ou une petite amie qui leur plaise vraiment ; plus besoin d'avoir un projet de vie.

Et c'est pourquoi il est bon de dire aux jeunes de ne jamais, jamais, essayer. Même une fois. Même pour s'amuser.

Mais il faut, et c'est encore plus vital, leur montrer qu'il existe une autre voie qui leur apportera plus de bonheur que les paradis artificiels. C’est cela qui est difficile. C’est cela que nous faisons très mal.

Et c'est là que les brochures qu'on leur distribue dans les écoles ne donnent jamais aucune solution crédible.


Un parallèle osé avec les « médocs »
Cela peut choquer mais, pour moi, bien des médicaments sont, comme la drogue, un moyen d'échapper à la dure réalité de la vie.

En français, nous distinguons les mots « drogue » et « médicament », mais ce n'est pas le cas en anglais, où les deux mots se disent « drug ».

Imaginez que les médecins francophones prennent l'habitude de dire à leurs patients :


« Cher Monsieur, chère Madame,

Je vois que vous mangez trop de sucre et que vous fumez trop. Vous êtes en train d'attraper le diabète et de détruire vos artères.

Vous avez deux solutions :

La première, c'est d'adopter un mode de vie sain, mieux manger et arrêter de fumer. Abonnez-vous à Santé Nature Innovation pour recevoir des conseils gratuits dans ce domaine.

La seconde, c'est de vous droguer pour que vous puissiez en toute tranquillité oublier votre état de santé réel. Vous pourrez continuer à vivre comme avant. Les drogues feront disparaître les signes de votre maladie. Vous ne risquez pas de vous faire arrêter par la police car ces drogues sont autorisées par l'Etat. Elles sont même remboursées par la Sécurité Sociale ! Vous ne débourserez donc pas un sou. Par contre, la maladie continuera de progresser silencieusement. Les drogues provoqueront des déséquilibres physiologiques qui déclencheront d'autres maladies. Votre risque d'hospitalisation et de décès augmentera. Et plus vous vous droguerez, plus il sera difficile de revenir à un mode de vie sain. À vrai dire, vous atteindrez rapidement le point où il sera trop tard pour revenir en arrière.

Alors, que choisissez-vous ? »


À votre santé !

Jean-Marc Dupuis

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Sources :

[1] Wikipedia, Delirium tremens

[2] Cocaïne : sortir de la dépendance

[3] Cocaïne

[4] Wikipedia, Sevrage (toxicologie)

[5] Syndrome de sevrage

[6] Cannabis thérapeutique. Sa culture autorisée en Allemagne

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Les informations de cette lettre d'information sont publiées à titre purement informatif et ne peuvent être considérées comme des conseils médicaux personnalisés. Aucun traitement ne devrait être entrepris en se basant uniquement sur le contenu de cette lettre, et il est fortement recommandé au lecteur de consulter des professionnels de santé dûment homologués auprès des autorités sanitaires pour toute question relative à leur santé et leur bien-être. L’éditeur n’est pas un fournisseur de soins médicaux homologués. L’éditeur de cette lettre d'information ne pratique à aucun titre la médecine lui-même, ni aucune autre profession thérapeutique, et s’interdit formellement d’entrer dans une relation de praticien de santé vis-à-vis de malades avec ses lecteurs. Aucune des informations ou de produits mentionnés sur ce site ne sont destinés à diagnostiquer, traiter, atténuer ou guérir une maladie.

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Drogues , vous ne lirez jamais ça ailleurs - Plantes médicinales  - la génétique et dépendance  Empty Les plantes qui soignent

Message par admin therese Sam 13 Sep 2014 - 6:56


Les plantes qui soignent


Chère lectrice, cher lecteur,


De nombreuses maladies, aujourd'hui traitées par des médicaments peu efficaces ou dangereux, pourraient être soignées par la phytothérapie (médecine par les plantes) :

contre les lombalgies, des douleurs de dos souvent intolérables qui sont la première cause d'absentéisme au travail, prendre de la scrofulaire noueuse ;

le ginkgo biloba et l'eleutherococcus senticosus (ginseng sibérien) améliorent le fonctionnement des neurones ;

le plantain lancéolé est un traitement de fond naturel contre l'asthme ;

la mélisse améliore la qualité de vie en cas de côlon irritable.


Et il en va de même pour de nombreuses maladies très répandues :

le fucus (algues) stimule la thyroïde ;

le mélèze renforce votre système immunitaire, il est traditionnellement recommandé en cas d'infections récidivantes, surtout au niveau de la sphère ORL (otites, sinusites, laryngites…) ;

le desmodium, le chardon-marie, le fumeterre réduisent les effets indésirables des médicaments chimiques sur le foie ;

le radis noir, la piloselle, le curcuma protègent les reins.


Mais qui le dit aux malades ?

Personne.

À 99 %, les prescriptions des médecins concernent des médicaments chimiques. Vous souvenez-vous de la dernière fois qu'on vous a prescrit des plantes médicinales ?

En faculté de médecine, seules 30 plantes sont encore au programme, sur plus de 800 000 connues.

Le métier d'herboriste a été pratiquement éradiqué. Où trouver des conseils, quand on sait que la plupart des pharmaciens ne connaissent plus les plantes depuis la disparition des préparations magistrales en pharmacie et l'invasion de leurs comptoirs par les médicaments ?

Les autorités sanitaires, elles, voudraient carrément les interdire à la vente en dehors des pharmacies. Seules 148 plantes sont autorisées, et encore ne doivent-elles comporter aucune indication thérapeutique.


Il est ainsi interdit d'indiquer que le fenouil aide à la digestion ; que le thym soulage la bronchite ; et même que la camomille calme les nerfs et favorise le sommeil !!

Qui a ainsi intérêt à nous priver de remèdes naturels et bon marché ?

Tout semble organisé pour nous revendre, à des prix exorbitants, des médicaments artificiels qui ne sont que de pâles copies de ce que la Nature nous avait donné à tous, gratuitement, en héritage.

Et c'est pour organiser la résistance que nous avons créé le journal Plantes & Bien-Être.


Un enjeu de civilisation
​Le combat de Plantes & Bien-Être est un enjeu de civilisation.

Nous voulons faire prendre conscience à tous du déséquilibre destructeur de notre système médical en faveur du tout médicament chimique.

Si nous laissons mourir la connaissance des plantes en nous-mêmes, ne nous étonnons pas que nos enfants se retrouvent coupés de leurs racines et de tout lien avec la Nature. Sans même s'en douter, ils seront les proies faciles des labos pharmaceutiques, et n'auront pas d'autre solution pour se soigner que de s'empoisonner et empoisonner l'environnement.

Mais grâce à Plantes & Bien-Être nous pouvons restaurer la connaissance vivante des plantes, dans tous les foyers.

En lisant ce journal, même occasionnellement, chacun peut très vite connaître les plantes qui nourrissent, celles qui soignent, celles qui sauvent, leurs actions, leurs dangers et interactions avec les médicaments. Par exemple :

L'eschscholzia californica est un excellent inducteur de sommeil naturel. Faites infuser de 6 à 10 g de plante séchée pour 0,5 litre d'eau, à boire 3 fois par jour en cas d'anxiété, et au coucher en cas d'insomnie.

Le millepertuis est aussi efficace comme antidépresseur que les médicaments chimiques ; il est très utilisé, mais qui connaît vraiment toutes ses incompatibilités avec les médicaments ? Vous le lirez dans Plantes & Bien-Être.

Les feuilles d'artichaut stimulent l'activité du foie et la sécrétion de bile, ce qui facilite la digestion des matières grasses.

L'orthosiphon est traditionnellement recommandé en Inde comme remède contre les calculs rénaux (cailloux dans les reins, très douloureux). Il est aussi recommandé pour les personnes sujettes aux troubles urinaires (de type cystite).

Pour les jambes lourdes et les pieds qui gonflent, buvez une tisane de pissenlit ou de sureau noir, à l'effet drainant et diurétique.

Le mélilot et l'hamamélis luttent contre les varices et l'insuffisance veineuse.

L'harpagophytum ou « griffe du diable » est une plante d'Afrique du Sud, qui était consommée par les indigènes pour atténuer les douleurs, en particulier celles de l'accouchement. Mais elle est efficace pour traiter les douleurs articulaires et lombaires et les tendinites.

Vous renforcerez l'effet de l'harpagophytum avec de l'encens (Boswellia carterii) et de la feuille de cassis (Ribes nigrum), si l'effet n'est pas suffisant.


Mais bien sûr, encore faut-il identifier ces plantes dans la nature, et celles qu'on ne trouve qu'en pharmacie. Savoir où les trouver, quand les cueillir, comment les conserver, leurs contre-indications et interactions médicamenteuses.

Toutes les indications précises pour chaque plante (comment la consommer, la préparer) sont dans Plantes & Bien-Être.


Préparez vos propres remèdes

Plantes & Bien-Être vous indique comment préparer chez vous des remèdes qui fonctionnent.

Vous découvrirez comme il est facile de faire pousser dans son jardin les « simples » de nos ancêtres, mais aussi les plantes récemment découvertes par la phytothérapie, et même cultiver dans certains cas les plantes utilisées par les autres cultures : pharmacopée chinoise, amazonienne, plantes tibétaines et ayurvédiques (médecine indienne).

Même si vous habitez en appartement, vous découvrirez comment un simple bac à fleurs ou un petit balcon permettent déjà de cultiver chez vous toute une pharmacie naturelle de secours.

Et si vous n'avez pas la main verte, Plantes & Bien-Être vous donne toutes les informations pour vous les procurer, dans la qualité, sous la forme et au prix qui conviennent, en herboristerie.


Une vie plus joyeuse et plus belle

La vie est tellement plus joyeuse et belle quand on connaît les plantes ! Chaque jour on se réjouit de les voir pousser sur son balcon ou dans son jardin. La moindre promenade devient une aventure passionnante quand on sait reconnaître les espèces et leur utilité pratique.

On apprend à vivre mieux : grâce à la valériane, la passiflore et le safran, on améliore son sommeil ; la griffonia et le millepertuis évacuent la tristesse ; la rhodiola aide à supporter le stress ; la bacopa monnieri renforce la mémoire… Quel dommage de ne pas profiter de tous ces cadeaux, et de tant d'autres…

​C'est cette ambition énorme que nous vous proposons dans Plantes & Bien-Être : refaire de notre planète un monde où il ferait bon vivre, en permettant à chacun de connaître les plantes qui l'entourent et leurs vertus pour retrouver son indépendance, sa liberté, et sa santé ; et aussi se reconnecter à la Nature que nous pillons et polluons aujourd'hui sans états d'âme.


Recevez GRATUITEMENT notre premier numéro

Notre premier numéro est un trésor pour votre santé, et il en sera de même pour les suivants. Je vous l'envoie gratuitement si vous décidez de faire un essai à Plantes & Bien-Être maintenant. Vous pourrez découvrir :

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Ce ne sont que quelques exemples pris au hasard. Plantes & Bien-Être vous apporte chaque mois 32 pages remplies à ras-bord de conseils pratiques et amusants, sans le moindre centimètre carré de publicité.

Aujourd'hui, le fil de la tradition et notre lien intemporel avec la Nature ont été coupés, en grande partie volontairement, ou du moins en profitant du fait que les patients étaient en train de regarder ailleurs.

Mais le savoir n'est pas perdu : au contraire, les spécialistes d’aujourd’hui en savent plus qu'aucun de leurs prédécesseurs. Nous avons réuni les meilleurs d'entre eux dans le comité de rédaction de Plantes & Bien-Être :

Les meilleurs experts

Plantes & Bien-Être ayant vocation à devenir la référence santé pour des centaines de milliers de foyers, nous n'avons admis au comité de rédaction que les meilleurs experts :

Le Docteur Franck Gigon ex chargé de cours au diplôme universitaire de phytoaromathérapie de Paris XIII, est spécialiste des plantes, de l'aromathérapie, conférencier et auteur de nombreux livres de référence dont « Se soigner par les plantes pour les Nuls » et « La vérité sur les plantes qui soignent » ;

Le Docteur Daniel Scimeca, spécialiste des plantes, président du syndicat de la médecine homéopathique ; directeur d'enseignement à la Société médicale de biothérapie, formateur de médecins et pharmaciens, et lui aussi auteur de nombreux ouvrages sur la santé naturelle ;

Le Dr Danielle Roux, pharmacien, scientifique et rédactrice en chef de la revue « Revue de Phytothérapie Européenne » ;

François Couplan, docteur-ès-sciences, ethnobotaniste, spécialiste mondial des utilisations traditionnelles des plantes et auteur de cinquante ouvrages sur le sujet ;

Christophe Bernard, diplômé de la Southwest School of Botanical Medicine et créateur du « Jardin des Plantes Médicinales » ;


Ainsi que le Dr Jacques Labescat (phytothérapeute), Jean-François Astier (directeur de l'Ecole Française d'Herboristerie), Julien Kaibeck, spécialiste des huiles essentielles, Alessandra Moro Buronzo et Nicolas Wirth (naturopathes).

Malgré leurs diplômes, ces experts ont été sélectionnés sur leur capacité à parler des plantes de façon simple et compréhensible par tous, surtout si vous n'avez aucune connaissance en botanique actuellement.


Fascinez votre entourage
Lire Plantes & Bien-Être est aussi un moyen d'enrichir votre culture médicale, et votre culture tout court. Vous ferez le plein d'anecdotes extraordinaires qui fascineront votre entourage :



Saviez-vous que l'aspirine, ce médicament parmi les plus utilisés dans le monde, a été découverte dans l'écorce de saule ? Vous obtiendrez les mêmes effets en faisant une simple infusion d'écorce de saule blanc salix alba.

Aucun progrès de la chirurgie n'aurait été possible sans la découverte, en 1844 par le médecin Claude Bernard, des effets neuromusculaires du curare [1], le fameux poison des Indiens d'Amazonie. Ils fabriquaient le curare à partir de certaines lianes, et ils en enduisaient les fléchettes qu'ils tiraient avec leur sarbacane, terrorisant les explorateurs.

Des cancers comme la maladie de Hodgkin et la leucémie sont traités (sans qu'on le dise aux patients) avec les feuilles de la pervenche de Madagascar, dont sont tirés les médicaments de chimiothérapie vinblastine et vincristine.

Il en va de même du cancer du poumon et du cancer des ovaires : très peu de patients le savent, mais le paclitaxel, la molécule employée dans le traitement anticancéreux, est en fait tiré de l'if, un arbre que vous trouverez probablement dans votre rue, peut-être même dans votre propre jardin !



Et je n'oublie pas les statines, ces médicaments si innovants (et si chers) contre le cholestérol, qui ont été découvertes dans la levure de riz rouge ; la digitale (fleur) et la quinine (un arbuste d'Amérique du Sud) qui servent de base aux traitements des maladies du cœur. Et bien entendu, la quinine est aussi le plus important « médicament » découvert contre le paludisme et la malaria.

Tarif spécial de lancement

Je vous propose donc de vous envoyer maintenant notre premier numéro, gratuitement, si vous décidez de faire un abonnement d'essai à Plantes & Bien-Être.

L'abonnement au tarif normal est de 39 euros par an (12 numéros) pour la version électronique. Mais vous bénéficiez aujourd'hui de notre tarif spécial de lancement à 19 euros (plus de 50 % de réduction).
Plantes & Bien-Être existe aussi en format papier

La version électronique est l'option la moins chère que nous puissions vous offrir mais, moyennant un supplément, vous pouvez aussi recevoir chaque mois Plantes & Bien-Être chez vous en format papier, imprimé, par la Poste.

Chaque numéro fait 32 pages. Cela peut donc être long et fatiguant à lire sur écran. L'imprimer peut coûter cher, à la longue, et il n'est pas toujours facile d'archiver des feuilles volantes.

Nous vous envoyons donc, si vous le souhaitez, vos numéros de Plantes & Bien-Être en format papier, reliés, bien exécutés. Ce sera pour vous plus agréable à consulter et plus facile à conserver.

Toutefois, l'imprimer, le mettre dans une enveloppe adressée à votre nom, et payer le timbre pour la France nous coûte 1,50 euros par numéro, ce qui nous oblige à vous demander une participation supplémentaire de 18 euros par an (douze numéros). L'abonnement papier coûte donc 19 euros (offre spéciale en format électronique), plus 18 euros, soit en tout 37 euros par an pour la France métropolitaine.

Nous vous proposons aussi de recevoir Plantes & Bien-Être au format papier en Europe et dans le monde entier. Il faut alors compter un coût supplémentaire d'acheminement selon le pays dans lequel vous vous trouvez.
Vous ne prenez aucun risque

Prenez le temps de tout lire, de tout consulter, d'essayer nos solutions. Cela ne vous engage à rien. Vous ne prenez aucun risque. Pendant trois mois, si vous n'êtes pas plus que satisfait de votre choix, vous pourrez résilier votre abonnement et être intégralement remboursé, frais d'impression et de port compris. Et en plus, vous pourrez conserver les numéros que vous aurez déjà reçu !

Si vous trouvez dans nos colonnes une seule stratégie pour rendre votre cœur robuste… renforcer vos facultés mentales… retrouver votre poids idéal…

Si vous découvrez un seul secret pour améliorer votre système immunitaire et éviter les maladies infectieuses…

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Alors vous aurez largement rentabilisé votre investissement dans Plantes & Bien-Être et vous vous direz merci d'avoir essayé.
Participez à un contre-offensive historique pour reprendre le contrôle de votre santé

Mais encore une fois, au-delà du cas personnel de chacun, l'enjeu de Plantes & Bien-Être est de mener une contre-offensive historique pour reprendre le contrôle de notre environnement, de notre santé, de nos vies, et rendre ce bien si précieux à nos enfants, petits-enfants, et aux générations qui vont suivre.

Les connaissances des experts étaient jusqu'à présent restreintes à un tout petit réseau.

Le grand public, lui, était victime des abus de pouvoir des autorités nationales et européennes qui empêchent les informations de se diffuser, et du désintérêt de la médecine universitaire qui ne se soucie même plus de former les jeunes médecins aux vertus médicinales des plantes.

Mais grâce à Plantes & Bien-Être toutes ces connaissances sont désormais à portée de main de chacun.

Aidez-nous à libérer l'information.

Faites de votre foyer un maillon de notre grande chaîne de résistance.

Abonnez-vous à Plantes & Bien-Être pour faire profiter votre entourage, nos jeunes, et profiter vous-même de tous ces trésors.

Commencez tout de suite à bénéficier et à faire bénéficier vos proches des secrets oubliés des plantes et de la nature.

C'est le seul moyen de secouer le joug du système de santé tel qu'il est aujourd'hui organisé, pour le profit de quelques-uns mais contre la santé de tous.

Rendez-vous ici pour recevoir aujourd’hui votre premier numéro de Plantes & Bien-Être.

Bien à vous,

Jean-Marc Dupuis


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Drogues , vous ne lirez jamais ça ailleurs - Plantes médicinales  - la génétique et dépendance  Empty Re: Drogues , vous ne lirez jamais ça ailleurs - Plantes médicinales - la génétique et dépendance

Message par astride Sam 13 Sep 2014 - 7:43

coucou ;chaque mois je reçois mail de professeur joyeux etjean marc Dupius mais gratuitement la je vais prendre abonnement par téléphone!!! et toute les indication dans ta lettre set une grande aide de ta part ;on ne sait jamais la molécule du médicament ??je suis en plain dedans et part le centre antidouleur !dit moi le chirurgien ma laissé comprendre que pendant 3jrs ,j'allais bien pensé a lui: cause grosse douleur ;tu sait je ne suis pas dupe que pourais tu me proposé pour calmer les douleurs que je ne retombe pas avec leur préscriptions de médoc !!!merçi a toi d"aider tant de personne
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Drogues , vous ne lirez jamais ça ailleurs - Plantes médicinales  - la génétique et dépendance  Empty Re: Drogues , vous ne lirez jamais ça ailleurs - Plantes médicinales - la génétique et dépendance

Message par sissi Dim 20 Aoû 2017 - 17:27

Bonsoir tout le monde,

une étude intéressante, certes de 2004...qui parle de l'influence génétique sur la dépendance physique et le sevrage des médicaments . Je n'ai malheureusement pas trouvé la suite de l'étude pour le moment

Source: Oregon Health & Science University

Publié: 8 juillet 2004

Les scientifiques trouvent un gêne influençant le retrait de drogue

PORTLAND, Ore. - L'un des gènes qui influence la dépendance physique des médicaments et le retrait associé a été identifié à l'Oregon Health & Science University.

Le gène, Mpdz, est impliqué dans la dépendance physique à une classe de médicaments connus sous le nom de sédatifs-hypnotiques, qui sont largement utilisés pour leurs effets euphoriques et sédatifs. Les drogues dans cette classe comprennent l'alcool, les inhalants, les barbituriques, les benzodiazépines, comme Rohypnol ou "toits", et d'autres "drogues de club".

Les scientifiques du Portland Alcohol Research Centre (PARC) et du Département de Neurochimie comportementale, OHSU School of Medicine, ont trouvé Mpdz en utilisant des souris élevées pour posséder une région d'un chromosome connu pour être associé à une prédisposition à la dépendance physique et le retrait des sédatifs-hypnotiques Comme l'alcool et les barbituriques. Au cours de la recherche de quatre ans, les scientifiques ont rétréci le champ initial de plus de 1000 gènes candidats à seulement cinq gènes, et finalement à un.

«Nous savons qu'une série de facteurs biologiques et environnementaux interagissent de manière complexe tout au long du processus addictif pour influencer l'usage ou l'abus de drogues. Nous pensons que la dépendance physique aux médicaments sédatifs-hypnotiques et aux épisodes de sevrage associés constitue une force de motivation qui perpétue l'usage de drogue ou Abusent et contribuent à la rechute ", a déclaré Nikki Walter, chercheur associé en neuroscience comportementale et coauteur d'étude.

"Maintenant que nous avons identifié l'un des gènes clés, nous pouvons commencer à étudier comment ce gène réglemente les circuits cérébrales impliqués dans la toxicomanie et le retrait", a déclaré Kari Buck, Ph.D., professeur associé de neuroscience comportementale et auteur principal du Étude, qui apparaît dans le numéro actuel de la revue Nature Neuroscience.

La découverte est également une preuve de plus que la dépendance à la drogue et à l'alcool est déterminée génétiquement. Les études antérieures de l'OHSU ont montré que la génétique influence grandement l'alcoolisme et la toxicomanie et le retrait.

"Il y a beaucoup de raisons pour lesquelles les gens boivent ou utilisent d'autres drogues et diverses raisons pour lesquelles ils perdent le contrôle", a déclaré Buck. "Pour certaines de ces personnes, il se peut qu'elles recherchent la plus grande consommation d'alcool et de drogues, alors que certaines personnes pourraient chercher à échapper à leur situation actuelle. Ce rapport a porté sur le retrait car il peut motiver une personne à Continuer à utiliser et à abuser de drogues et contribuer à la spirale descendante de la dépendance ".

L'étude s'est concentrée sur une région chromosomique précédemment affectée à la fois par la dépendance à l'alcool et par le barbituré et par le retrait. En utilisant des souches de souris consanguines qui diffèrent dans la gravité du retrait du médicament, les chercheurs ont développé des souris recombinantes pour réduire la région du chromosome 4 de la souris qui représentait le phénotype de sevrage à un intervalle contenant seulement cinq gènes.

"Donc, pour les cinq gènes que nous avons trouvés ont été exprimés, nous les avons testés pour les variations entre les souches qui diffèrent dans la gravité du retrait du médicament. Il peut s'agir de différences entre les individus au niveau de la séquence et / ou au niveau de l'expression - combien de protéines Ils ont dans leur cerveau ", a déclaré Renee Shirley, Ph.D., chercheuse associée en neuroscience comportementale et coauteur d'étude.

"Parmi les cinq gènes candidats, un seul, Mpdz, avait des différences de nucléotides qui ont changé la séquence d'acides aminés. De même, Mpdz était le seul qui différait dans son expression", a-t-elle ajouté. "Son expression est également corrélée à la sévérité du retrait dans un panel de souches de souris consanguines, ce qui a permis de soutenir que ce gène est un gène de retrait de médicament".

Le produit protéique de Mpdz interagit avec les récepteurs de la sérotonine dans les cellules nerveuses du cerveau. Les récepteurs de la sérotonine ont été impliqués dans la dépendance à l'alcool et aux drogues, ainsi que certains troubles psychiatriques. La forme humaine du gène Mpdz interagit également avec les récepteurs de la sérotonine. "Nous savons qu'il existe différentes versions du gène Mpdz humain, mais nous ne savons pas encore si ces différences sont fonctionnellement pertinentes au niveau des protéines ou au niveau du comportement", a déclaré Buck.

Pour déterminer la sensibilité au retrait chez la souris, les chercheurs ont mesuré la sévérité des convulsions en utilisant un test de comportement bien établi. Ils ont constaté que plus l'expression de Mpdz était grande, moins les souris étaient susceptibles de provoquer des crises de dépistage du médicament.

Cependant, Mpdz ne règle pas la susceptibilité des crises en général, car son statut est génétiquement corrélé aux crises induites par certains médicaments, mais pas tous. "Il y a beaucoup de questions à suivre avec ce gène, beaucoup de questions que nous pouvons maintenant commencer à répondre", a déclaré Shirley.

Au fur et à mesure que les interactions avec les protéines de Mpdz, les circuits neuronaux, les mécanismes de régulation du retrait et la contribution à l'abus continu de drogues et à la rechute, des nouvelles thérapies pharmaceutiques pourraient être identifiées, a déclaré Buck. «Pour ceux qui sont susceptibles de se retirer du médicament et qui sont traités pour abus de drogues, les thérapies axées sur ce gène et / ou les protéines avec lesquelles il interagit peuvent avoir un sens.

Buck a ajouté: "Il est très possible que, en augmentant notre compréhension de la façon dont Mpdz agit dans le cerveau, nous pouvons commencer à développer des thérapies et des interventions de médicaments alternatives et / ou complémentaires pour les individus".

Les autres collaborateurs de l'étude étaient: Matthew Reilly, Ph.D., PARC, le Département des Neurochimiques du Comportement, OHSU School of Medicine; Et Christoph Fehr, MD, Département de psychiatrie, Université de Mayence, Allemagne. L'étude a été soutenue par l'Institut national sur la toxicomanie et l'Institut national sur l'abus d'alcool et l'alcoolisme, les National Institutes of Health.

Je vous embrasse
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