Syndrome de sevrage des antidépresseurs : ce n'est pas une reprise de la dépression !
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Sevrage des benzodiazépines, antidépresseurs et somnifères - Forum de soutien et d'entraide :: VISITEURS :: Liens d'information : ouverts au public .
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Syndrome de sevrage des antidépresseurs : ce n'est pas une reprise de la dépression !
https://www.depression.fr/21/syndrome-de-sevrage-des-antidepresseurs-et-effets-secondaires-du-sevrage.html
Ce site confirme bien qu'il ne faut pas confondre les symptômes de sevrage avec ce que les médecins nomment une reprise de la dépression !
C'EST CAPITAL
Si vous êtes allés trop vite,il est normal d'avoir des symptômes de sevrage ...et n'attendez pas que ça passe ! ça ne passera pas et votre entourage vous dira : "tu vois ,tu devras prendre des AD à vie ! "
Non et non ! reprendre son sevrage est la règle car il s'agit de se sevrer correctement en diminuant de 10% de la dose avec des paliers de 15 j environ et pas un jour sur deux ! !
nuances : 10% c'est beaucoup : testez d'abord avec un petit % et monter graduellement !
15j c'est court ! 30j c'est mieux
Antidépresseurs et syndrome de sevrage
Si vous arrêtez de prendre vos antidépresseurs d'un seul coup ou brutalement, vous pourriez souffrir de maux tels que des vertiges, la nausée ou des maux de tête. Cela est connu sous le nom de syndrome de sevrage. Ces effets arrivent sont particulièrement courant quand vous arrêtez de prendre du Paxil ou du Zoloft.
La dépression et l'anxieté sont des symptômes courant lors de l'arrêt de la prise d'antidépresseurs.
Lorsque la dépression survient après l'arrêt de la prise de médicament, elle est souvent plus forte que la dépression d'origine qui a conduit au traitement par ces médicaments.
Malheureusement, beaucoup de personnes prennent le syndrome de sevrage comme un retour à leur état dépressif et se remettent à reprendre leurs médicaments, ceci créant un cercle vicieux.
Symptômes du syndrome de sevrage pour les antidépresseurs
Symptômes émotionnels Troubles sensoriels Symptômes du rhume
Envie de pleurer
Irritabilité ou agressivité
Anxieté
Agitation
Engourdissement
Troubles de la vision, sensation de flou
Sensations de picotement
Fatigue
Maux de tête
Douleurs dans les muscles
Symptômes gastro-intestinaux Equilibre corporel Troubles du sommeil
Nausée, envie de vômir
Douleurs abdominales
Perte de l'appétit
Diarrhée
Sursauts
Difficultés de coordination des mouvements
Vertiges
Insormnie
Cauchemars
Sueurs nocturnes
Pour éviter le syndrome de sevrage des antidépresseurs, n'arrêtez jamais votre traitement de façon brutale.
A la place, allégez graduellement vos dosages en attendant une semaine ou deux entre chaque réduction de doses. Ce processus peut prendre jusqu'à plusieurs mois et doit se faire sous la supervision d'un médecin.
Effets secondaires des antidépresseurs
Les antidépresseurs sont classés en quatre grandes familles: les inhibiteurs spécifiques de la recapture de sérotonine (ISRS), les tricycliques et tétracycliques, les inhibiteurs de la monoamine oxydase (IMAO) et les antidépresseurs atypiques.
Les inhibiteurs spécifiques de la recapture de sérotonine (ISRS)
Les ISRS sont les antidépresseurs les plus couramment prescrits. Ils agissent sur la sérotonine et incluent des médicaments comme le Prozac, le Zoloft et le Paxil. Les ISRS sont généralement préférés aux anciennes générations d'antidépresseurs comme les tricycliques et les IMAO car leurs effets secondaires sont moins sévères.
Comme tous les antidépresseurs, les ISRS peuvent provoquer une augmentation des pensées et des comportements suicidaires. Ils s'accompagnent aussi d'un risque d'irritabilité et d'anxieté. Chez les adultes de plus de 65 ans, les ISRS augmentent le risque de chutes et de fractures. Le syndrome de sevrage va souvent de paire avec les ISRS si leur prise est arrêtée brutalement.
Les effets secondaires les plus courant sont:
Nausée
Insomnie
Vertiges
Perte ou prise de poids
Tremblements
Bouche sèche
Diarrhée ou constipation
Maux de tête
Inhibiteurs spécifiques de la recapture de sérotonine (ISRS)
Prozac
Luvox
Zoloft
Paxil
Lexapro
Celexa
Les antidépresseurs atypiques
Il y a toute une variété d'antidépresseurs atypiques qui agissent sur d'autres neurotransmetteurs que la sérotonine. Ils peuvent par exemple agir sur les niveaux de norépinéphrine et de dopamine.
Les effets secondaires varient selon les médicaments. Cependant, de nombreux antidépresseurs atypiques causent la nausée, de la fatigue, une prise de poids, somnolence, la bouche sèche et une vision troubles.
Antidépresseurs atypiques
Cymbalta
Remeron
Wellbutrin
Desyrel
Effexor
Serzone
Antidépresseurs tricycliques et tétracycliques
Les antidépresseurs tricycliques sont parmi les antidépresseurs les plus anciens. Ils fonctionnent en réduisant la recapture de la sérotonine et de la norépinéphrine. Ils inhibent aussi partiellement la réabsorption de dopamine. Ils ont tendance à causer plus d'effets secondaires que les autres types d'antidépresseurs. Pour cette raison, on leur préfère généralement les ISRS ou les antidépresseurs atypiques.
Les tricycliques mettent environ deux semaines pour agir sur les symptômes de la dépression. La somnolence est un effet secondaire qui arrive très souvent, particulièrement dans les premières semaines de la médication. Il y a également un risque de syndrome de sevrage en cas d'arrêt soudain du traitement.
Antidépresseurs tricycliques
Elavil
Asendin
Anafranil
Norpramin
Sinequan
Tofranil
Ludiomil
Pamelor
Vivactil
Surmontil
Les inhibiteurs de la monoamine oxydase (IMAO)
Les IMAO sont la plus ancienne classe d'antidépresseurs. Des précautions alimentaires très strictes doivent êtres prisent en raison des interactions de cette médication avec la nourriture et les boissons, le risque étant des crises d'hypertension pouvant conduire à une crise cardiaque. En raison de ce danger, les IMAO ne sont pas choisis comme le premier choix de traitement de la dépression. Si vous votre médecin vous prescrit un IMAO, vous devrez faire très attention à ce que vous mangez et aux autres médicaments que vous prendrez pendant le traitement. Par exemple, vous devrez vous interdire le chocolat, le vin, la bière et plusieurs sortes de fromage.
Les autres effets secondaires sont:
Les vertiges
L'insomnie
La prise de poids
Les maux de tête
Des problèmes sexuels
Des problèmes de somnolence
Enfin, il est recommandé d'attendre au moins cinq semaines avant de prendre un IMAO si vous avez pris un ISRS précédemment. Combiner les ISRS avec les IMAO présente un risque mortel appelé Syndrome sérotoninergique (surdosage de sérotonine au niveau des neurones)
Inhibiteurs de la monoamine oxydase
Nardil
Parnate
Marplan
Emsam
Dernière édition par admin therese le Lun 18 Sep 2017 - 8:47, édité 11 fois
Antidépresseurs , syndrome de sevrage prolongé
http://toxicantidepressants.fr/francais/antidepresseurs-et-empoisonnement/syndrome-de-sevrage-prolonge.html
ouvrir le lien..
Qu'est-ce que le SYNDROME DE SEVRAGE PROLONGE ?
En agissant sur les neurotransmetteurs, les antidépresseurs inhibiteurs de la recapture de la sérotonine ou (IRS) par exemple, modifient la chimie du cerveau qui petit à petit transforme tous les échanges de nombreux autres neurotransmetteurs pour arriver à un équilibre,
lorsque l'on arrête les antidépresseurs, le cerveau ne peut vivre qu'avec l'antidépresseur, il a tout modifié pour, on l'y a forcé, le cerveau doit donc refaire un nouvel équilibre qui ressemble à celui d'origine, et cela ne se fait pas sans douleur et des durées qui peuvent être des années, 5 ans, 10 ans...
le syndrôme de sevrage prolongé, c'est cela par exemple.
La médecine d'aujourd'hui accepte les symptômes de sevrage, mais pour elle, ils ne durent que 3 semaines.
Et le médecin prescripteur dénie tout cela, il dénie catégoriquement le syndrôme de sevrage prolongé, et le remplace en disant votre maladie s'est aggravée, vous voyez, vous avez besoin de l'antidépresseur à vie, alors que c'est son médicament qui a transformé notre cerveau et nous a mis dans cet état.
Il existe quelques psychiatres ou journalistes qui essaient de démonter cette supercherie.
Pour des personnes qui ont longtemps pris des antidépresseurs (plusieurs années), une fois qu'elles arrêtent, il apparait un syndrôme qui peut durer des années, on appelle cela le syndrôme de sevrage prolongé.
Ces symptômes sont souvent très éprouvants la première année voire deux.
Les symptômes peuvent être des spasmes musculaires, de la tension, tremblements, gastro, insomnie, vertiges, vision focus, ébriété, démangeaisons, ataxie, pseudo fibromyalgie, problèmes urinaires, dépersonnalisation/déréalisation,
sensations d'aiguilles, de l'anxiété, dépression, akathisie,
agoraphobie, tocs, des dérèglements hormonaux,
des dérèglements de tout ce qui se fait automatiquement(pression sanguine,battements cardiaques, salive), hypersensibilité à certains aliments, à la lumière, aux sons, acouphènes...
Heureusement, avec le temps, ces symptômes sont de moins en moins intenses et certains finissent par disparaître.
Comment guérit-on ?
La guérison des nerfs est curieuse, la guérison n'est pas linéaire, il y a des hauts et des bas, les personnes trouvent qu'il y a une analogie entre le rubik's cube,le pendule, un manège...tous ont raison, c'est la même chose infernale.
Ce qui est sûr, c'est que le patient est mis dans son trou noir, un peu resorti, et remis dans son trou. Il perd espoir.
Le paradoxe des antidepresseurs
Lorsque le médecin ou le psychiatre nous prescrit des antidépresseurs, c'est pour la dépression, l'humeur, des difficultés psychologiques.
Lorsque nous les arrêtons nous nous attendons à des problèmes d'humeur, de déprime qui revient.
mais alors là ! nous n'arrivons plus à marcher correctement, à penser normalement, à écrire normalement, à manger normalement, à dormir normalement, à parler normalement...
un enfant est dix fois mieux que nous. Nous sommes diminués à un point tel que nous n'imaginions pas que cela puisse exister.
D'un état dépressif ou anxieux, nous nous retrouvons totalement handicapé pour les actes courants de la vie, actes courants que nous effectuiions avant les antidépresseurs.
L'arrêt des antidépresseurs est surprenant, on ne s'attend pas à cela, c'est un paradoxe.
Fenêtres, vagues et guérison
Après avoir arrêté les antidépresseurs (paxil, effexor, deroxat, zoloft et autres), brutalement ou graduellement, on se retrouve dans ce que les personnes appellent une vague.
La vague veut dire un état de mal-être, physique et mental, on est en souffrances, cet état peut durer des mois,certains symptômes sont difficile à décrire .
Il y a pendant cette période des bas et des plus bas.
souvent aux alentours de 18 mois, 24 mois, voire plus ou moins, à un moment donné, sans raison, alors que l'on était dans le brouillard de cerveau , marchant avec difficulté par exemple, on va mieux, on a l'impression que le ciel s'est éclaircit. La sensation est agréable, on reprend espoir, c'est la fameuse fenêtre tant attendue.
mais malheureusement, une heure après, ou 8 heures ou plus, la fenêtre se referme et l'on se retrouve à nouveau dans la vague.
Mais la fenêtre reviendra de plus en plus longue, mais quand ?
Le système réparateur
Une drogue psychotrope telle que le déroxat est un poison au même titre que le plomb, le vernis, l'héroïne, l'aluminium...la différence est la quantité ingérée quotidiennement;
nous avons de nombreux systèmes dans le corps, système pour respirer, manger, gérer la peur, système pour dormir, système automatique comme le système sympathique et parasympathique etc...
Nous avons aussi un système de réparation;
Le déroxat empoisonne les systèmes au hasard, circulant dans le sang; la sérotonine se trouve dans le cerveau, les jambes, les poumons, les intestins(majoritairement)
Avec les années, le système réparateur, système au même titre que le système pour dormir ou autre, est endommagé; le déroxat ne faisant pas de différence dans les systèmes...
Toucher la sérotonine, c'est toucher beaucoup plus de choses, comme la dopamine, le gaba et beaucoup d'inconnus de la science actuelle, c'est très imbriqué et complexe.
C'est pour cela que nous ne serons plus jamais le même, mais un nouveau soi-même,
complètement réparé?
Je pense que c'est une question de toxicité(trop de sérotonine provoque un syndrôme sérotoninergique grave, moins de sérotonine moins grave) pourquoi grave? Il n'y a qu'à voir comment on souffre.
Mon opinion, être optimiste n'est pas bon, pessimiste pas bon,
peut-être qu'être réaliste est mieux.
Ici, les personnes ont la connaissance de ce qui leur est arrivé, que penser des personnes polydroguées qui ne comprennent pas ce qui leur arrive et courent chez leur sauveur qui leur prescrit.
Je n'ai pas la solution mais après 6 ans sans psychotrope, je souffre toujours.
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Qu'est-ce que le SYNDROME DE SEVRAGE PROLONGE ?
En agissant sur les neurotransmetteurs, les antidépresseurs inhibiteurs de la recapture de la sérotonine ou (IRS) par exemple, modifient la chimie du cerveau qui petit à petit transforme tous les échanges de nombreux autres neurotransmetteurs pour arriver à un équilibre,
lorsque l'on arrête les antidépresseurs, le cerveau ne peut vivre qu'avec l'antidépresseur, il a tout modifié pour, on l'y a forcé, le cerveau doit donc refaire un nouvel équilibre qui ressemble à celui d'origine, et cela ne se fait pas sans douleur et des durées qui peuvent être des années, 5 ans, 10 ans...
le syndrôme de sevrage prolongé, c'est cela par exemple.
La médecine d'aujourd'hui accepte les symptômes de sevrage, mais pour elle, ils ne durent que 3 semaines.
Et le médecin prescripteur dénie tout cela, il dénie catégoriquement le syndrôme de sevrage prolongé, et le remplace en disant votre maladie s'est aggravée, vous voyez, vous avez besoin de l'antidépresseur à vie, alors que c'est son médicament qui a transformé notre cerveau et nous a mis dans cet état.
Il existe quelques psychiatres ou journalistes qui essaient de démonter cette supercherie.
Pour des personnes qui ont longtemps pris des antidépresseurs (plusieurs années), une fois qu'elles arrêtent, il apparait un syndrôme qui peut durer des années, on appelle cela le syndrôme de sevrage prolongé.
Ces symptômes sont souvent très éprouvants la première année voire deux.
Les symptômes peuvent être des spasmes musculaires, de la tension, tremblements, gastro, insomnie, vertiges, vision focus, ébriété, démangeaisons, ataxie, pseudo fibromyalgie, problèmes urinaires, dépersonnalisation/déréalisation,
sensations d'aiguilles, de l'anxiété, dépression, akathisie,
agoraphobie, tocs, des dérèglements hormonaux,
des dérèglements de tout ce qui se fait automatiquement(pression sanguine,battements cardiaques, salive), hypersensibilité à certains aliments, à la lumière, aux sons, acouphènes...
Heureusement, avec le temps, ces symptômes sont de moins en moins intenses et certains finissent par disparaître.
Comment guérit-on ?
La guérison des nerfs est curieuse, la guérison n'est pas linéaire, il y a des hauts et des bas, les personnes trouvent qu'il y a une analogie entre le rubik's cube,le pendule, un manège...tous ont raison, c'est la même chose infernale.
Ce qui est sûr, c'est que le patient est mis dans son trou noir, un peu resorti, et remis dans son trou. Il perd espoir.
Le paradoxe des antidepresseurs
Lorsque le médecin ou le psychiatre nous prescrit des antidépresseurs, c'est pour la dépression, l'humeur, des difficultés psychologiques.
Lorsque nous les arrêtons nous nous attendons à des problèmes d'humeur, de déprime qui revient.
mais alors là ! nous n'arrivons plus à marcher correctement, à penser normalement, à écrire normalement, à manger normalement, à dormir normalement, à parler normalement...
un enfant est dix fois mieux que nous. Nous sommes diminués à un point tel que nous n'imaginions pas que cela puisse exister.
D'un état dépressif ou anxieux, nous nous retrouvons totalement handicapé pour les actes courants de la vie, actes courants que nous effectuiions avant les antidépresseurs.
L'arrêt des antidépresseurs est surprenant, on ne s'attend pas à cela, c'est un paradoxe.
Fenêtres, vagues et guérison
Après avoir arrêté les antidépresseurs (paxil, effexor, deroxat, zoloft et autres), brutalement ou graduellement, on se retrouve dans ce que les personnes appellent une vague.
La vague veut dire un état de mal-être, physique et mental, on est en souffrances, cet état peut durer des mois,certains symptômes sont difficile à décrire .
Il y a pendant cette période des bas et des plus bas.
souvent aux alentours de 18 mois, 24 mois, voire plus ou moins, à un moment donné, sans raison, alors que l'on était dans le brouillard de cerveau , marchant avec difficulté par exemple, on va mieux, on a l'impression que le ciel s'est éclaircit. La sensation est agréable, on reprend espoir, c'est la fameuse fenêtre tant attendue.
mais malheureusement, une heure après, ou 8 heures ou plus, la fenêtre se referme et l'on se retrouve à nouveau dans la vague.
Mais la fenêtre reviendra de plus en plus longue, mais quand ?
Le système réparateur
Une drogue psychotrope telle que le déroxat est un poison au même titre que le plomb, le vernis, l'héroïne, l'aluminium...la différence est la quantité ingérée quotidiennement;
nous avons de nombreux systèmes dans le corps, système pour respirer, manger, gérer la peur, système pour dormir, système automatique comme le système sympathique et parasympathique etc...
Nous avons aussi un système de réparation;
Le déroxat empoisonne les systèmes au hasard, circulant dans le sang; la sérotonine se trouve dans le cerveau, les jambes, les poumons, les intestins(majoritairement)
Avec les années, le système réparateur, système au même titre que le système pour dormir ou autre, est endommagé; le déroxat ne faisant pas de différence dans les systèmes...
Toucher la sérotonine, c'est toucher beaucoup plus de choses, comme la dopamine, le gaba et beaucoup d'inconnus de la science actuelle, c'est très imbriqué et complexe.
C'est pour cela que nous ne serons plus jamais le même, mais un nouveau soi-même,
complètement réparé?
Je pense que c'est une question de toxicité(trop de sérotonine provoque un syndrôme sérotoninergique grave, moins de sérotonine moins grave) pourquoi grave? Il n'y a qu'à voir comment on souffre.
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http://soutienbenzo.forumgratuit.org/t3292-eviter-la-prise-ad-bzd-sante-blog-du-dr-schmitz-lettre-dr-willem#294641
Le MANUEL :
http://psychotropes.info/wordpress/
http://psychotropes.info/brochures/Manuel_de_sevrage_2017.pdf
FAQ:
http://soutienbenzo.forumgratuit.org/t344-faq-la-foire-aux-questions-sur-le-sevrage-et-les-benzodiazepines#242443
Dopamine
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Le MANUEL :
http://psychotropes.info/wordpress/
http://psychotropes.info/brochures/Manuel_de_sevrage_2017.pdf
FAQ:
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Re: Syndrome de sevrage des antidépresseurs : ce n'est pas une reprise de la dépression !
Bonjour Thérèse,
Je ne suis décidément pas douée avec internet et je n'ai pas trouvé comment t'envoyer un message perso.
Mais bon, ce mail peut intéresser tout le monde.
Je suis tombée sur une expertise collective de l'INSERM, disponible à l'adresse:
http://www.inserm.fr/thematiques/sante-publique/expertises-collectives
ou pour le feuilleter en ligne:
http://www.zyyne.com/zh5/96636#p=111
dont le titre est:
Médicaments psychotropes : consommations et pharmacodépendances (2012)
Je viens de la dévorer. Ca n'est pas "dernier cri" donc un certain nombre de données scientifiques seraient à remettre à jour, mais tout ce qui est d'ordre epidémiologique et neuropharmacologique est bien là: la prise de conscience du problème de la pharmacodépendance aux psychotropes était bien là déjà en 2012.
Et pour les solutions proposées (fin du fascicule), on attend toujours qu'elles soit mises en place...
Je me demande si on ne devrait pas lancer une pétition sur "change.org" pour essayer de faire bouger les pouvoirs publics par rapport aux benzodiazépines (en ce qui me concerne j'ai aussi eu un énorme problème avec le Zyprexa). Peut-être à évaluer sur ce site ?
En tout cas je retiens que chacun peut contacter l'ANSM (qui a remplacé l'AFSAPSS) pour signaler un problème de dépendance !
Bises
Je ne suis décidément pas douée avec internet et je n'ai pas trouvé comment t'envoyer un message perso.
Mais bon, ce mail peut intéresser tout le monde.
Je suis tombée sur une expertise collective de l'INSERM, disponible à l'adresse:
http://www.inserm.fr/thematiques/sante-publique/expertises-collectives
ou pour le feuilleter en ligne:
http://www.zyyne.com/zh5/96636#p=111
dont le titre est:
Médicaments psychotropes : consommations et pharmacodépendances (2012)
Je viens de la dévorer. Ca n'est pas "dernier cri" donc un certain nombre de données scientifiques seraient à remettre à jour, mais tout ce qui est d'ordre epidémiologique et neuropharmacologique est bien là: la prise de conscience du problème de la pharmacodépendance aux psychotropes était bien là déjà en 2012.
Et pour les solutions proposées (fin du fascicule), on attend toujours qu'elles soit mises en place...
Je me demande si on ne devrait pas lancer une pétition sur "change.org" pour essayer de faire bouger les pouvoirs publics par rapport aux benzodiazépines (en ce qui me concerne j'ai aussi eu un énorme problème avec le Zyprexa). Peut-être à évaluer sur ce site ?
En tout cas je retiens que chacun peut contacter l'ANSM (qui a remplacé l'AFSAPSS) pour signaler un problème de dépendance !
Bises
gwendo191- Messages : 30
Date d'inscription : 24/04/2014
Re: Syndrome de sevrage des antidépresseurs : ce n'est pas une reprise de la dépression !
Coucou ,
Merci de tes liens !
Pour un MP , sous l'avatar , tu as PM : tu fais clic dessus .
Bisous
Merci de tes liens !
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Bisous
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Le MANUEL :
http://psychotropes.info/wordpress/
http://psychotropes.info/brochures/Manuel_de_sevrage_2017.pdf
FAQ:
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Re: Syndrome de sevrage des antidépresseurs : ce n'est pas une reprise de la dépression !
Je remets en ligne avec un lien qui fonctionne !
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Thérèse
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Re: Syndrome de sevrage des antidépresseurs : ce n'est pas une reprise de la dépression !
Je trouve Super pessimiste comme message... Ca m'a mis la boule au ventre.... j'espère ne pas subir ces sYmptomes à long terme...
Fifille- Messages : 44
Date d'inscription : 08/04/2018
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