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l'olfactotherapie

3 participants

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Message par regine Mar 20 Sep 2011 - 10:14

http://www.olfactotherapie.com/
pour retrouver la memoire et le sommeil
le principe: utiliser les odeurs pour stimuler le cerveau

bonne journee
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Message par carolette Mar 20 Sep 2011 - 18:54

Sympa ce lien, merci Régine... tu veux essayer ?
Bisous
Carole
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Message par regine Mar 20 Sep 2011 - 19:28

j'aimerais bien essayer
les odeurs de l'enfance font remonter plein de choses
pourquoi pas
on fait toute une sortie olfavtive !!!
je ne sais pas si ça se dit!!!!
bisous
regine
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Message par carolette Mer 21 Sep 2011 - 9:53

Hello Régine,
Ah sortie olfactive ? tu nous raconteras ?

Bisous
Carole
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l'olfactotherapie Empty C'est moins buccolique !

Message par admin therese Mar 2 Juil 2013 - 15:41

http://www.olfactotherapie.com/infos-huiles-odeurs-etc-revue-de-presse/en-finir-avec-les-d%C3%A9sodorisants/

En finir avec les désodorisants pour préserver l'air intérieur



27 août 2008


L’association de défense des consommateurs Que Choisir publiait en décembre 2004 un document édifiant sur la nocivité des désodorisants d’intérieur, dont l’intitulé était pour le moins explicite : « Polluants d’ambiance ». Anticipant une appréhension légitime de leur clientèle, la réaction des industriels commercialisant les produits incriminés ne s’est pas faite attendre. Arguant être en conformité avec la « réglementation en vigueur », ce qui aux dires de l’association ne représente pas de défi majeur étant donné qu’il n’existe pas de règlement relatif aux émissions de polluants des produits proposés à la vente, les fabricants se sont engagés à fournir à leurs clients une meilleure transparence via leur « programme de gestion responsable ».

Malgré cette bonne volonté affirmée, les progrès sont loin d’être convaincants comme en témoigne la nouvelle étude publiée dans le numéro de septembre du magazine Que choisir. Sur les 39 produits testés issus d’enseignes diverses dont les célèbres Air Wick, Brise, Oust, Febreze et Ambi Pur, seuls 9 ont été jugés « acceptables ».
Représentatifs de la diversité du marché actuel, les articles examinés comprennent 9 produits de combustion, 10 aérosols, 11 diffuseurs électriques, 6 diffuseurs prêts à poser, deux huiles essentielles et un extrait de parfum. Pour mettre en évidence des traces de composés organiques volatils (COV), semi-volatils et très volatils, chaque désodorisant a été placé dans une chambre en plexiglas d’une contenance de 28 litres.
Des cartouches absorbantes installées en sortie de la chambre étaient chargées d’identifier et de quantifier les émissions polluantes piégées. Les relevés ont débuté au terme de deux heures de fonctionnement en ce qui concerne les diffuseurs électriques et prêts à poser ainsi que les bougies, de 15 minutes après les pulvérisations de cinq secondes pour les aérosols, les vaporisateurs et les mini-sprays. L’attente a été prolongée à une heure pour les huiles essentielles et l’extrait de parfum employés avec un brûleur.

Le seuil de référence au-dessous duquel la qualité de l’air est considérée de « bonne qualité » a été fixé à 200 µg/m3. Bien que les industriels l’aient jugé excessif, ce quota s’applique à un seul produit, chacune des références étant étudiée dans une chambre différente pour éviter toute contamination d’une expérimentation à l’autre.

Les résultats sont sans appel. Parmi les multiples polluants rejetés, on a détecté la présence de substances classées cancérigènes dont le formaldéhyde décrit comme le plus préoccupant des « polluants hautement prioritaires » par l’Observatoire de la qualité de l’air intérieur. Outre des réactions allergiques de la peau, des yeux et des voies respiratoires, il est impliqué dans plusieurs types de cancers, notamment ceux de la cavité buccale, des fosses nasales et des sinus. Or, on a dépisté la présence de ce gaz dans certaines bougies, telles l’Occitane parfumée à la cannelle orange et la version Italian festival de Brise Huiles parfumées. L’encens japonais de la marque Encens du monde et celui « fruits confis » de l’Occitane ont également été testés positifs au test du formaldéhyde.

Autre COV comptant parmi les plus redoutés, le benzène a lui aussi été décelé après l’utilisation de quelques produits, dont la déclinaison vanille et caramel de la Lampe Berger. Bien que présent en faible quantité, celui-ci représente une réelle menace, étant impliqué dans certains cas de leucémies et de lymphomes.

Si ces deux composés chimiques font partie des plus nocifs, de nombreuses autres « substances aux effets connus ou suspectés » ont été mises en évidence comme l’acétaldéhyde, classé cancérigène possible par le CIRC (Centre International de Recherche sur le Cancer) et le toluène, décrit par l’association comme un « neurotoxique puissant ».

Bien qu’à l’origine d’un recul des ventes en 2004, ces résultats alarmants n’ont pas pour autant freiné les ardeurs des fabricants, bien au contraire. Minimisant les risques encourus, certains sont même allés jusqu’à attribuer des vertus assainissantes à leurs désodorisants. C’est le cas d’Ambi Pur qui vante sa gamme Puresse comme « hypoallergénique », cette dernière ayant été reconnue comme émettrice de limonène (1).
Mais ne s’appliquant qu’à la peau et non aux voies respiratoires, comme le souligne Que Choisir, cette protection hypoallergénique serait sans doute plus utile s’il s’agissait d’un déodorant corporel. D’autres innovations ont suivi, à l’image des destructeurs d’odeurs devenus articles phares des marques Oust et Febreze. Pourtant, outre le fait qu’ils ne détruisent pas les molécules odorantes à éliminer, ils introduisent une quantité non négligeable de COV.

Si vous espériez trouver une alternative honorable du côté des produits « naturels », là encore, force est de reconnaître que les promesses ne sont pas tenues. Terme éminemment équivoque, nous entendons ici par « naturels » soit des produits se réclamant à 100 % naturels, soit des formules « à base d’huiles essentielles » ou encore des articles vendus dans des magasins bio. Au total, 10 produits dits « naturels » ont été inclus à l’étude. Exemple parmi d’autres, le vaporisateur Phytaromasol, promu comme « composé d’huiles essentielles 100 % pures et naturelles », semble atteindre un niveau de pollution « record » avec des « émissions de limonène et d’alphapinène très élevées ».
De même, Que Choisir invite à se méfier du crédit habituellement accordé aux huiles essentielles. Annihilant les bienfaits généralement attribués à celles-ci, l’association huiles et flamme génère une pollution très importante, diffusant des compositions cancérigènes.
Loin de remplir leur fonction première, à savoir l’assainissement de l’air intérieur, les désodorisants d’intérieur en viennent à avoir l’effet inverse, exposant les habitants des lieux à des substances nocives. Pour preuve, qu’il s’agisse d’organismes de protection de consommateurs ou des fabricants eux-mêmes, tous conseillent de « Bien ventiler après usage » et de « Ne pas respirer les aérosols ». Dès lors, quel intérêt de recourir à ces produits s’il est nécessaire d’en annihiler les effets immédiatement après leur utilisation ? Une interrogation qui devrait trouver un large écho alors que ces petits gadgets poursuivent les acheteurs jusque dans l’habitacle de leurs voitures…
Cécile Cassier
1- Molécule irritante naturellement présente dans le citron.





Commentaire de Gilles Fournil

Il convient donc de diffuser les huiles sans les chauffer.
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