Antidépresseurs,et si on arrêtait ?
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Antidépresseurs,et si on arrêtait ?
Ah! oui alors,si on arrêtait ! encore faut-il comprendre qu'il y a des alternatives qui,utilisées à temps ,éviteraient ce piège ....
http://www.principes-de-sante.com/article/maladies-antidepresseurs-et-si-on-arretait.html
Antidépresseurs : et si on arrêtait ?
01 décembre 2010 - 00:00 - Maladies- Par La rédaction - Commentaires (21)
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On a du mal à comprendre pourquoi le corps médical demeure si attaché aux traitements antidépresseurs alors que les effets secondaires de ces médicaments aboutissent souvent à l’effet inverse de celui qui était recherché. Bouffées d’angoisse, pulsions suicidaires, troubles du sommeil, baisse de la libido, confusion mentale… tous ces symptômes ont été observés et prennent fin presque instantanément à l’arrêt du traitement.
Différentes études ont, par ailleurs, prouvé que l’efficacité des traitements antidépresseurs diminuait avec le temps. Le patient se trouve ainsi piégé dans un engrenage infernal tiraillé entre l’obligation d’augmenter les doses et la peur de ne plus jamais pouvoir se passer du médicament. Quel bénéfice tire-t-il de tout cela ? Généralement aucun, car les rechutes sont presque toujours au rendez-vous
Le traitement médicamenteux allopathique consiste le plus souvent en une association entre un antidépresseur et un anxiolytique, sauf si l’antidépresseur utilisé est suffisamment sédatif. Cette réponse thérapeutique uniforme n’est cependant pas si efficace qu’on le dit. En effet, la quasi-totalité des antidépresseurs exposent à la rechute dans des pourcentages élevés :
60 % après le premier épisode dépressif.
90 % après le second !
L’unanimité du corps médical en faveur des traitement antidépresseurs fait, par ailleurs, fi des effets secondaires de ces médicaments qui, souvent, aboutissent à l’effet inverse de celui qui était recherché.
Les traitements naturels : il en reste peu… mais il en reste
Les possibilités qu’offrent les médecines et thérapies alternatives, sont tellement nombreuses qu’il est impossible de les citer toutes. Notre choix est en partie basé sur notre expérience, et pour le reste sur un a priori favorable.
Mais les remèdes, même s’ils sont naturels, n’excluent pas la possibilité d’un risque suicidaire, il est donc indispensable que leur emploi soit relayé par un médecin ou un thérapeute averti. Et il faut se rappeler que ces propositions ne dispensent en aucun cas d’un travail personnel en thérapie.
La nutrithérapie
Quand la dépression nerveuse est installée, le simple rééquilibrage alimentaire n’est pas suffisant pour retrouver rapidement une humeur joyeuse et stable. C’est là que la nutrithérapie s’applique à combler les carences en nutriments indispensables.
Les protéines
Un apport satisfaisant en protéines, donc en acides aminés essentiels est capital, car une carence, même marginale, peut entraîner une altération des fonctions psychiques.
Les glucides
Ils seraient nécessaires à la synthèse d’endorphines (de structure proche de la morphine), neurotransmetteurs procurant la sensation de plaisir et participant à la régulation du stress et de la douleur physique.
Les acides gras oméga 3
Une des hypothèses actuelles sur les origines de la dépression est la baisse de la fluidité membranaire des cellules nerveuses : les informations véhiculées par les neurones passeraient moins bien, l’efficacité des neurotransmetteurs serait amoindrie.
Cette viscosité membranaire est due à des apports alimentaires carencés en oméga 3 ou/et à des affections qui perturbent la synthèse des oméga 3 terminaux (EPA et DHA) comme le diabète.
Les minéraux
Le déficit en fer induit une baisse des fonctions cérébrales sous forme d’une dépression dopaminergique, avant qu’apparaissent les signes d’une anémie.
Le déficit en magnésium est susceptible de générer des troubles de la personnalité de type névrotique, avec hypocondrie, phobies et tendance à l’épuisement.
Le déficit en zinc peut être responsable d’un syndrome dépressif avec perte de l’appétit et amaigrissement.
Ces minéraux sont plus efficaces et surtout mieux tolérés lorsqu’ils sont pris sous forme d’orotates (chez Effiplex).
Ouvrir le lien pour lire la suite ...
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On a du mal à comprendre pourquoi le corps médical demeure si attaché aux traitements antidépresseurs alors que les effets secondaires de ces médicaments aboutissent souvent à l’effet inverse de celui qui était recherché. Bouffées d’angoisse, pulsions suicidaires, troubles du sommeil, baisse de la libido, confusion mentale… tous ces symptômes ont été observés et prennent fin presque instantanément à l’arrêt du traitement.
Différentes études ont, par ailleurs, prouvé que l’efficacité des traitements antidépresseurs diminuait avec le temps. Le patient se trouve ainsi piégé dans un engrenage infernal tiraillé entre l’obligation d’augmenter les doses et la peur de ne plus jamais pouvoir se passer du médicament. Quel bénéfice tire-t-il de tout cela ? Généralement aucun, car les rechutes sont presque toujours au rendez-vous
Le traitement médicamenteux allopathique consiste le plus souvent en une association entre un antidépresseur et un anxiolytique, sauf si l’antidépresseur utilisé est suffisamment sédatif. Cette réponse thérapeutique uniforme n’est cependant pas si efficace qu’on le dit. En effet, la quasi-totalité des antidépresseurs exposent à la rechute dans des pourcentages élevés :
60 % après le premier épisode dépressif.
90 % après le second !
L’unanimité du corps médical en faveur des traitement antidépresseurs fait, par ailleurs, fi des effets secondaires de ces médicaments qui, souvent, aboutissent à l’effet inverse de celui qui était recherché.
Les traitements naturels : il en reste peu… mais il en reste
Les possibilités qu’offrent les médecines et thérapies alternatives, sont tellement nombreuses qu’il est impossible de les citer toutes. Notre choix est en partie basé sur notre expérience, et pour le reste sur un a priori favorable.
Mais les remèdes, même s’ils sont naturels, n’excluent pas la possibilité d’un risque suicidaire, il est donc indispensable que leur emploi soit relayé par un médecin ou un thérapeute averti. Et il faut se rappeler que ces propositions ne dispensent en aucun cas d’un travail personnel en thérapie.
La nutrithérapie
Quand la dépression nerveuse est installée, le simple rééquilibrage alimentaire n’est pas suffisant pour retrouver rapidement une humeur joyeuse et stable. C’est là que la nutrithérapie s’applique à combler les carences en nutriments indispensables.
Les protéines
Un apport satisfaisant en protéines, donc en acides aminés essentiels est capital, car une carence, même marginale, peut entraîner une altération des fonctions psychiques.
Les glucides
Ils seraient nécessaires à la synthèse d’endorphines (de structure proche de la morphine), neurotransmetteurs procurant la sensation de plaisir et participant à la régulation du stress et de la douleur physique.
Les acides gras oméga 3
Une des hypothèses actuelles sur les origines de la dépression est la baisse de la fluidité membranaire des cellules nerveuses : les informations véhiculées par les neurones passeraient moins bien, l’efficacité des neurotransmetteurs serait amoindrie.
Cette viscosité membranaire est due à des apports alimentaires carencés en oméga 3 ou/et à des affections qui perturbent la synthèse des oméga 3 terminaux (EPA et DHA) comme le diabète.
Les minéraux
Le déficit en fer induit une baisse des fonctions cérébrales sous forme d’une dépression dopaminergique, avant qu’apparaissent les signes d’une anémie.
Le déficit en magnésium est susceptible de générer des troubles de la personnalité de type névrotique, avec hypocondrie, phobies et tendance à l’épuisement.
Le déficit en zinc peut être responsable d’un syndrome dépressif avec perte de l’appétit et amaigrissement.
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