Pas de démocratie sanitaire , mépris des professionnels de terrain

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Covid-19 : « Il n’y a pas de démocratie sanitaire quand les professionnels de terrain sont à ce point méprisés »
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Ce qui m’inquiète davantage, ce sont toutes les formes de pression et d’intimidation qui sont exercées sur des médecins libéraux ou hospitaliers bien moins connus, dès lors qu’ils ont le malheur de dire publiquement qu’ils ne partagent pas tel ou tel dogme du ministère de la Santé, en particulier le dogme selon lequel il n’y aurait aucune thérapeutique pour soigner les malades de la Covid. Dans ces cas, il n’y a pas de sanction officielle ni de communiqué de presse. Tout se joue dans les coulisses et c’est généralement le Conseil national de l’ordre des médecins qui est à la manœuvre, parfois en service commandé du ministère mais souvent aussi à la suite de « signalements » provenant d’autres médecins. On peut faire l’hypothèse que ces derniers ne supportent pas la culpabilité que leur renvoient ceux qui tentent de soigner alors que eux acceptent de ne pas le faire.

Quoi qu’il en soit, le but est de faire taire ces « dissidents » afin de laisser croire que le ministère de la Santé parle au nom de tous les professionnels. La réalité est très différente. En fait, de nombreux médecins généralistes considèrent depuis le début de l’épidémie que leur rôle est de soigner les gens et non de les laisser se reposer chez eux avec du doliprane au risque que la situation s’aggrave et qu’il faille les hospitaliser. Dans les hôpitaux (en particulier les services de réanimation où les médecins ne peuvent parfois que constater des dégâts irréversibles) et les EHPAD, certains médecins considèrent également que, sauf contre-indication particulière, il faut traiter cette infection avec des médicaments ayant une action antivirale et/ou anti-inflammatoire dès le début de la prise en charge afin d’éviter que la maladie dégénère et qu’il faille passer en réanimation.

Bonjour,

Je pense aussi qu'il y a une chasse à l'homme qui est organisé insidieusement par l'Etat et par le gouvernement contre ceux qui ne suivent pas le dogme gouvernemental.

S'il n'y avait pas de vies en jeu, on pourrait ne pas s'en émouvoir mais là, c'est tout le fondement de la médecine qui est remise en cause par ce gouvernement.

Ce gouvernement veut asservir la médecine à son idéologie alors que la médecine est une discipline libre.
La médecine , c'est du cas par cas et non des soins technocratisés.

Ceux qui ne suivent pas la ligne gouvernementale sont mis sur la touche du point de vue carrière.

Tout est fait insidieusement et ce qui arrive au Professeur Péronne en est l'illustration.

Voilà, ce que je voulais dire par rapport à cet asservissement gouvernemental d'une pratique de la médecine qui a besoin essentiellement d'être libre.

Joyeux Noël,

https://www.alternativesante.fr/coronavirus/des-collectifs-de-medecins-veulent-creer-un-conseil-scientifique-independant?utm_source=dialoginsight&utm_medium=email&utm_campaign=B14

Sous l’égide du collectif de médecins « Laissons les médecins prescrire », une conférence de presse réunissant des médecins de ville et des figures politiques s’est tenue ce samedi à Paris. Son objectif : donner leur point de vue sur la crise sanitaire sans précédent et annoncer la création de plusieurs instances.