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Les médecines alternatives ont le vent en poupe ...et sont trop souvent décriées selon moi !!

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Les médecines alternatives ont le vent en poupe ...et  sont trop souvent décriées selon moi !! Empty Les médecines alternatives ont le vent en poupe ...et sont trop souvent décriées selon moi !!

Message par admin therese Dim 18 Mar 2012 - 12:05

Je suis "remontée" aujourd'hui et j'ai mon coup de gueule contre cette médecine "classique" autoritaire !!



Magazine ELLE - 20 mars 2006

Les médecines alternatives ont le vent en poupe
Comment éviter charlatans et gourous ?
L'EMDR, la petite dernière

Les médecines alternatives ont le vent en poupe

COMMENT  SE SOIGNER AUTREMENT

Homéopathie, acupuncture, ostéopathie… de plus en plus de patients font désormais appel à ces thérapies, à côté ou en complément de la médecine classique.
Lesquelles sont les plus efficaces ? Pour quels maux ? Comment éviter les charlatans ?
ELLE ouvre le dossier.

« La plupart des médicaments allopathiques sont contre-indiqués pour les femmes enceintes. Lors de ma deuxième grossesse, je me suis donc tournée vers l'homéo­pathie pour me débarrasser de mes trachéites à répétition. Et j'ai continué pour mon bébé qui souffrait d'asthme. Le médecin est une ORL, une "ex" de l'hôpital Necker, convertie à la phytothérapie et à l'homéopathie. Elle pres­crit des antibiotiques si nécessaire et cela me rassure », explique Emma, 42 ans, deux enfants. Un témoignage qui dit tout de l'usage des médecines alternatives aujourd'hui : dans l'esprit des patients, elles ne rivalisent plus avec la médecine classique dite allopathique mais sont utilisées comme médecines complémentaires. La preuve : comme Emma, trois Français sur quatre y ont eu recours au moins une fois et près d'un sur deux les utilise assez régulièrement.

Une attitude qui n'étonne pas Pascal-Henri Keller (1), psychologue, spécialiste de psychosomatique : « Les babas des années 1970, anti-médicaments parce que anti-chimie, ont disparu. Il s'agît désormais de consommateurs de soins pragmatiques qui recherchent ce qui marche le mieux selon le trouble dont ils souffrent », explique-t-il. « Cette tendance s'inscrit dans un nouveau mouvement dit de "santé positive", analyse de son côté Michel Morin (2), professeur de psychologie sociale de la santé. Les gens ne réclament plus seulement d'être en bonne santé, ils recher­chent un bien-être, une énergie, une force intérieure. »

Mais que trouve-t-on chez l'homéopathe, l'acupuncteur ou l'ostéopathe qui ferait défaut au généraliste ?
Ceux-ci se sont peut-être tout simplement aperçus que, depuis Freud, tout a changé. L'esprit a trouvé sa place, indissociable et complémentaire du corps. « Le patient sait que le corps parle, explique Pascal-Henri Keller. Il veut l'écouter, situer sa souffrance dans son histoire, et être entendu. » Mieux informé, le patient sait que le mieux placé pour parler de son trouble, c'est lui. Or, la médecine trop technicienne lui en donne peu l'occasion (une consultation dure en moyenne 14 minutes). Pour ce type de patient, la médecine classique prescrit trop d'examens et trop de médicaments. Et là aussi le bât blesse. Plus respectueux de leur corps, ces patients redoutent les effets secondaires de la chimie. Selon la formule de Mathilde, 31 ans : « Ces médecines règlent des choses sans en dérégler d'autres. » C'est ce qui fait, entre autres, le succès des thérapies manuelles. « Entre une séance chez l'os­téopathe ou l'étiopathe, qui soulagent un mal de dos en deux séances sans médicaments, et la consultation d'un généraliste qui ordonne d'emblée une radio et des anti-inflammatoires qui risquent de démolir l'estomac, il n'y a pas photo pour le patient », constate le psychiatre Patrick Lemoine (3). Ce sont les femmes qui apprécient le plus : « Elles représentent 80 % de notre lectorat », remarque Pierre Dhombre, rédacteur en chef d'« Alternative santé », un men­suel spécialisé sur les médecines « différentes ». Pourquoi ?
« Parce que les filles, dès le plus jeune âge, se tournent vers elles-mêmes et s'intéressent à leur corps, commente Pascal-Henri Keller. Les médecines globales qui leur permettent de décrire ce qu'elles connaissent bien font donc naturellement partie de leur monde. » Sans désavouer la médecine techni­cienne sur laquelle elles comptent en cas de coup dur, elles privilégient ces thérapies pour soigner le stress, les troubles du sommeil, les allergies ou la colopathie.

La plupart de ces consultations ne sont peu ou pas rem­boursées, mais il ne faudrait pas croire que seules les couches les plus aisées y ont recours. « C'est la démarche de gens qui veulent être responsabilisés, acteurs de leur santé, constate Michel Morin, et ils sont prêts à y mettre le prix.

Les jeunes médecins sont d'ailleurs nombreux à suivre, en plus de  leur cursus, des formations en homéopathie ou phytothérapie. » La médecine pure et dure néglige donc moins souvent qu'autrefois cette nouvelle clientèle. Son tort serait d'ailleurs d'évincer d'un revers de main des pratiques qu'elle connaît encore mal. Car tout le monde pourrait bien souffrir du divorce. Thierry Janssen, dont le récent livre « La Solution intérieure » (4) bat des records de vente, se situe dans cette logique : « Si les médecins certifiés ne s'intéres­sent pas à ces médecines, ils laissent la place aux gourous. » Adoptant ce discours, nous avons choisi de faire un tour d'horizon de ces médecines, en analysant leurs points forts. Et en mettant en garde contre les charlatans. Car, comme la médecine classique, utilisées à mauvais escient, elles peu­vent faire plus de mal que de bien.

Marie-Christine Deprund

(1) Professeur de psychologie à l'université de Poitiers, auteur du « Dialogue du corps et de l'esprit (éd. Odile Jacob).
(2) Auteur de « Parcours de santé » (éd. Armand Colin).
(3) Auteur du «Mystère du placebo » (éd. Odile Jacob) et de «L'enfer de la médecine est pavé de bonnes intentions » (éd. Robert Laffont).
(4) Editions Fayard.


LES MEDECINES ALTERNATIVES SE SOIGNENT AUTREMENT

Plus respectueux de leur corps, les patients redoutent les effets secondaires de la chimie.
Selon la formule de Mathilde, 31 ans :
« Ces médecines règlent des choses sans en dérégler d'autres. »

FONT-ELLES LEURS PREUVES ?

A mesure que la liste des pratiques non conventionnelles s'allonge (près de 200 techniques recensées), le casse-tête s'intensifie. Qui croire ? Ceux qui décrient ces « patamédecines », ou ceux qui brandissent des études démontrant leurs bienfaits ?

Pour prouver l'efficacité d'une thérapeutique, il faut réaliser des études en double aveugle. Le principe : comparer son effet avec celui d'un placebo de même forme et/ou d'un traitement de référence, sur des groupes de patients constitués au hasard. Mais l'évaluation se heurte à de multiples difficultés. Les essais cliniques sont longs, coûteux. Par ailleurs, ce n'est pas parce qu'on n'identifie pas de principe actif que ces pratiques n'ont pas de résultat. C'est tout le mystère de l'effet placebo, dans lequel l'alchimie entre la conviction du médecin et les attentes du patient est déterminante.

Autre hic : les nombreuses études réalisées affichent des résultats contradictoires.

Certaines ne respectent pas les standards méthodologiques, ou sont d'une portée trop restreinte.
En fait, il faudrait considérer la totalité des preuves disponibles...
Un travail de titan auquel s'est attelé le professeur Edzard Ernst, dans un ouvrage récent*. On y lit que l'acupuncture, dans le traitement de la douleur dentaire ou du vomissement consécutif à la chimiothérapie, génère plus d'effet qu'un placebo. Concernant la phytothérapie, de bons arguments cliniques montrent l'efficacité de certaines plantes dans le traitement de l'anxiété et de la dépression. Quant à l'homéopathie, l'efficacité des remèdes ne peut être « ni confirmée ni exclue »...

En France, ce sont les laboratoires pharmaceutiques qui évaluent les médicaments.

Une mainmise dénoncée par les défenseurs des médecines alternatives. La Haute Autorité de santé ne délivre des avis sur le sujet qu'au coup par coup. Les études de l'Inserm restent peu accessibles aux patients. L'Académie de médecine appelle à la prudence. Il faut donc se tourner vers l'étranger pour espérer une information claire. En 1997, une résolution du Parlement européen demandait à la Commission d'effectuer une évaluation rigoureuse de l'acupuncture, de la chiropractie, de l'homéopathie et de l'ostéopathie. Initiative restée lettre morte... En 2003, l'Assemblée mondiale de la santé a prié ses Etats membres de « réglementer les médecines traditionnelles ou complémentaires ».
Les Etats-Unis ont voulu créer en 1998 une structure indépendante, le National Center for Complementary and Alternative Médecine. Il doit étudier toutes les médecines alternatives et complémentaires dans un contexte scientifique rigoureux, former des chercheurs et diffuser l'information récoltée. Une volonté politique affirmée, dotée d'un budget annuel de recherche de 122,7 millions de dollars en 2006.
Un modèle à suivre...

Juliette Demey
* « Médecines alternatives, le guide critique » (éditions Elsevier).

« En piquant certains points de l'oreille, on fait disparaître la douleur.
Nos patients peuvent diminuer leur traitement et retrouver une sensibilité perdue. »

Dr Sabine Brûlé, auriculothérapeute à l'Institut Gustave-Roussy de Villejuif.

VERS LA RECONNAISSANCE ?

Dans l'Hexagone, la chiropractie est autorisée. Mais pas la phytothérapie, qui peut être taxée d'exercice illégal de fa médecine quand elle est pratiquée par des non-médecins. Les thérapies manuelles seraient-elles plus efficaces que les plantes ? Elles sont, surtout, mieux défendues. Car pour qu'une médecine alternative garde ou obtienne pignon sur rue, le lobbying doit se faire féroce. Les homéopathes l'ont bien compris : quand, en 2003, Jean-François Mattei annonce le déremboursement total des granules, leur syndicat active ses réseaux. Le laboratoire Boiron recueille près d'un million de signatures ! Succès... partiel : le remboursement passe de 65 % à 30 %, mais le ministre de la Santé suivant promet de ne plus y toucher. Autre exemple : l'ostéopathie. Pour que la profession soit officialisée, les syndicats ont mis la pression pendant vingt ans. La loi est passée en 2002, les décrets d'application devraient suivre cet été. Le pragmatisme économique, en effet, semble jouer en faveur des autres médecines. Comme au Portugal, qui a reconnu six nouvelles thérapies en 2003. « La pénurie de médecins est annoncée, et notre Sécurité sociale fait faillite, résume Isabelle Robard*, avocate. Ce contexte favorise l'officialisation des thérapies non conventionnelles, qui ne coûtent rien à la Sécu et peuvent participer à la prévention des maladies. Les pouvoirs publics français y viendront. »  

Sophie Henry

* Auteure de « Médecines non conventionnelles et Droit » (éditions Litec).

ELLES ONT CONQUIS L'HÔPITAL

Acupuncture, homéopathie, hypnose... pas à pas, les hôpitaux se mettent au diapason du public en ouvrant leurs portes à des pratiques qui complètent la médecine classique.

Souvent utilisées d'abord à titre expérimental, elles offrent des réponses là où la médecine de pointe se heurte à ses propres limites. A l'Institut Gustave-Roussy de Villejuif, spécialisé dans le traitement du cancer, une consultation d'auriculothérapie existe depuis la création du Centre de la douleur, en 1982. Elle est réservée aux patients qui souffrent des séquelles de chimio et de radiothérapie, ou de douleurs post-chirurgicales. « On a voulu tester cette alternative thérapeutique, les résultats ont vite été satisfaisants, raconte le Dr Sabine Brûlé, généraliste auriculothérapeute. En piquant certains points de l'oreille, on fait disparaître la douleur. Nos patients peuvent diminuer leur traitement et retrouver une sensibilité perdue. »

Certaines techniques aident aussi les patients à supporter des traitements longs et contraignants. Le Dr Christian Trépo, chef du service hépato-gastro-entérologie de l'Hôtel-Dieu, à Lyon, a constaté que la moitié de ses patients VIH ou malades du foie prenait de l'homéopathie. Depuis 1987, il a intégré deux homéopathes au service. « Ils apportent une dimension relationnelle complémentaire à notre approche scientifique et hyper technique. » Le Dr Serge Rafal tient une consultation de médecines douces à l'hôpital Tenon, à Paris. « Des patients sous trithérapie, sous chimio, ou atteints de sclérose en plaques viennent pour du conseil nutrition riel. » D'autres sont en quête de méthodes alternatives aux antibiotiques ou aux antidépresseurs.
L'accueil du monde hospitalier reste souvent grinçant.

Le Dr Daniel Annequin, qui dirige le Centre de la migraine de l'hôpital pour enfants Trousseau, à Paris, l'a constaté. Dès 1997, il a intégré à son équipe des psychomotriciens et psychologues pratiquant l'hypnose. Depuis, les sceptiques se sont tus. « Les enfants migraineux apprennent à faire baisser la pression avec l'autohypnose et la relaxation. On améliore la santé tout en diminuant les médicaments. » A la maternité des Bluets, à Paris, le Dr Evelyne Petroff a « rusé » en embauchant Anne Cornetet, une kiné... qui pratique l'ostéopathie. « A coté des pédiatres et des sages-femmes, sa place est justifiée », explique-t-elle.
Forceps, naissances par le siège, bébés douloureux, torticolis ou malpositions du pied : autant d'indications pour lesquelles Anne Cornetet intervient. Pour cela, elle a dû montrer le bénéfice de son travail au personnel médical :
« Pour un torticolis, la preuve est immédiate. Face aux pédiatres, il faut savoir rester à sa place et donner ses limites de compétence. »

J.D.

À CHAQUE SYMPTÔME SA THERAPIE

Loin de nous l'idée de réduire chaque médecine alternative à quelques pathologies ou de dresser un dictionnaire de soins. D'autant plus que l'effet recherché dépend, dons ce domaine encore plus que dons la médecine classique, de la relation entre le médecin et son patient. Nous ne souhaitons que livrer quelques pistes à ceux qui souffrent de maux récurrents. En respectant toujours les précautions suivantes : s'adresser d'abord à un médecin pour être certain du diagnostic. Et ne jamais multiplier les séances quand te résultat se fait attendre. Une thérapie qui marche apporte toujours rapidement un mieux-être.

SI VOUS SOUFFREZ DE...
... MIGRAINES : pas d'automédication ! Les médecins reçoivent en urgence de plus en plus de patients dont la douleur est devenue irréductible en raison d'un abus de médicaments. En revanche, les médecines alternatives (souvent associées entre elles) permettent d'obtenir de bons résultats, c'est pourquoi les centres antidouleur les intègrent souvent dans leur stratégie de soins. Ainsi, l'homéopathie relie le symptôme migraine à ses circonstances d'apparition (syndrome prémenstruel, troubles digestifs...) et traite les deux. Lorsque la migraine est accompagnée de spasmes musculaires et de douleurs cervicales : l'acupuncture, l'ostéopathie peuvent soulager. Lorsque le stress ou un problème psychologique sont en cause, ou encore que la douleur est insupportable : l'hypnose, la relaxation et la psychothérapie peuvent également aider.

... MAUX DE DOS : avec le torticolis, les lumbagos et la sciatique, c'est le motif de consultation n° 1 des médecines manuelles. Les praticiens étiopathes, ostéopathes ont souvent un bon diagnostic.
Ils savent qu'il suffit souvent d'un tout petit blocage ou d'une contracture pour déclencher des douleurs en chaîne. A quoi reconnaît-on leurs compétences ? Ils exigent une radio pour être certains que le trouble ne provient pas d'une lésion (fracture, maladie inflammatoire ou tumorale) qui contre-indiquerait les manipulations. Leur plus : ils ne s'intéressent pas qu'à l'articulation qui souffre et peuvent régler le problème en quelques séances si la lésion n'est pas trop profondément installée.
La phytothérapie, elle, dispose de tout un arsenal de plantes qui, en plus, ont souvent un effet anti-inflammatoire et reminéralisant utile à ceux qui souffrent de rhumatismes et d'arthrose. Quant à l’homéopathie, elle est surtout efficace pour diminuer la douleur.

... REGLES DOULOUREUSES, INFECTIONS URINAIRES À REPETITION : c'est peu connu, mais elles sont souvent bien traitées par l'ostéopathie qui, en travaillant sur le petit bassin et sur le périnée, permet de redonner de l'espace aux organes pour qu'ils fonctionnent mieux. La phytothérapie, elle, est souvent recommandée pour traiter les problèmes hormonaux.

... OTITES, RHINITES, ASTHME, ALLERGIES : c'est le point fort de l'homéopathie et de la phytothérapie qui permettent de réduire la consommation d'antibiotiques. C'est pourquoi elles sont pratiquées par bon nombre d'ORL et de pédiatres. Sage précaution : choisir un médecin qui pratique aussi la médecine allopathique, il pourra prescrire les médicaments indispensables en cas de fièvre durable, d'infection rebelle ou de crise d'asthme. L'acupuncture, elle, agit en relançant l'énergie et le système immunitaire.

... INSOMNIES, STRESS, ANXIETE : l'acupuncture joue sur les deux tableaux, le corps et l'esprit. Tous les troubles psychiques font donc naturellement partie de ses indications. Idem pour toutes les méthodes qui s'appuient sur la respiration : la relaxation, la digipuncture (acupression), le tai-chi et la méditation.
L'hypnose donne aussi de bons résultats.

... DEPENDANCE AU TABAC : toutes les psychothérapies comportementales, les groupes de parole et l'hypnose renforcent la motivation et permettent de tenir... L'homéopathie, l'acupuncture, la phytothérapie, la naturopathie complètent cette action en aidant à combattre la nervosité, à drainer l'organisme et calmer l’appétit.

M.-C.D.

Dans ce domaine, plus encore que dans la médecine classique, l'effet recherché dépend de la qualité de la relation entre le médecin et son patient.

COMMENT EVITER CHARLATANS ET GOUROUS ?

Le champ de la santé constitue un terrain de prédilection pour les charlatans et les mouvements sectaires, qui savent utiliser les médecines parallèles pour infiltrer le milieu médical. Il y aurait, selon l'Ordre national des médecins, environ 3 000 praticiens ayant des relations plus ou moins étroites avec un mouvement sectaire. La plus grande vigilance s'impose. Huit signes qui ne trompent pas...

1. Si le « guérisseur » développe des théories qui prétendent se substituer à la médecine traditionnelle : par exemple, la kinésiologie, qui propose de soigner en dénouant les muscles, le respirianisme, qui prétend prévenir toute maladie en respirant l'air et la lumière.

2. S'il utilise un jargon pseudo-médical vous promettant de vous « désintoxiquer », « d'équilibrer votre chimie ou votre karma » : l'usage de concepts impossibles à mesurer lui permet de prétendre à un succès que rien ne peut venir corroborer.

3. S'il vous demande de couper radicalement tout contact avec votre médecin, de cesser tout traitement en cas de maladie avérée.

4. S'il dénigre systématiquement la médecine classique et se déclare victime d'un complot ourdi par la profession médicale.

5. S'il prétend qu'il peut tout pour votre santé, que rien ne lui résistera et qu'il n'y a pas de maladie inguérissable.

6. S'il n'a aucun diplôme ou s'est autoproclamé pour exercer sa « médecine alternative ».

7. S'il vous demande à i'avance un engagement pour un certain nombre de séances et le chèque correspondant...

8. Attention, la gratuité peut être tout aussi suspecte, par exemple lorsqu'elle est proposée aux professionnels de la santé pour venir se former. Le but est d'accrocher les gens pour leur faire payer beaucoup plus par la suite. Le meilleur conseil étant de faire fonctionner son bon sens.

E.W.

Si vous avez le moindre doute, adressez-vous à :
La Mission interministérielle de vigilance et lutte contre les dérives sectaires (Miviludes), tél. : 01 42 75 76 10.
L'Union nationale des associations de défense des familles et de l'individu victimes de sectes (Unadfi), tél. : 01 44 92 35 92. www.unadfi.org
www.antisectes.net etwww.infosectes.com
A lire: «Les Charlatans de la santé», de Jean-Marie Abgrall (éditions Documents Payot].

«CES MEDECINES NOUS FONT DECOUVRIR LE POUVOIR DU PSYCHISME»

Interview du Dr Edouard Zarifian*, Psychiatre.

ELLE. La pratique des médecines alternatives peut-elle laisser espérer une baisse de la consommation des psychotropes ?

EDOUARD ZARIFIAN. Pas seulement des médicaments psycho­tropes, mais de tous les médicaments ! Nous consommons trois fois plus de médicaments psychotropes que nos voisins européens. Cela dit, donner un neuroleptique à quelqu'un qui délire, ce n'est pas abusif, mais prescrire des benzodia-zépines à quelqu'un qui a une anxiété banale existentielle apporte plus de nuisances que de bienfaits. D'autant que nous avons bien d'autres possibilités d'agir : la phytothéra­pie, l'hypnose, l'acupuncture, toute technique qui n'intro­duit pas un corps étranger chimique dans l'organisme. Il est regrettable que, à l'heure où on souhaite démarrer une cam­pagne pour limiter la consommation d'hypnotiques, on choisisse de dérembourser la phytothérapie !

ELLE. Est-ce l'effet placebo des médecines alternatives qui peut concurrencer tes psychotropes ?

E.Z. Entre autres. Et ce placebo - autrement dit, la puissance du psychisme sur le corps - aura d'autant plus d'effet qu'il s'exercera dans le cadre d'une interaction entre deux psychismes. Il ne peut pas y avoir d'effet placebo sans la pré­sence d'un autre être humain qu'on a investi du pouvoir de nous guérir. Une étude en double aveugle placebo contre placebo, publiée récemment par le « British Médical Journal », illustre cette supériorité de l'interaction humaine par rapport aux médicaments, face à la douleur. On a pris un premier groupe de malades à qui on a donné un placebo. A l'autre groupe, on a fait des pseudo-séances d'acupunc­ture : eh bien, l'acupuncture a eu sur la douleur des résultats bien supérieurs aux médicaments. Pourquoi ? Parce que les malades ont investi l'acupuncteur du pouvoir de les guérir. L'effet placebo joue d'autant plus qu'il passe par l'entremise de quelqu'un que vous avez élu.

ELLE. Mais cet effet placebo existe aussi dans la médecine classique ?

E.Z. Bien sûr, le sujet souffrant s'adresse toujours à un gué­risseur, même dans la médecine traditionnelle. Mais la gran­de différence avec ce qui se passe dans les médecines alter­natives, c'est l'échange de parole, c'est le fait qu'il s'agit d'une médecine lente, globale, une médecine de la personne et non du symptôme, ou de la pathologie. Et puis cette médecine-là repose sur une vraie philosophie du soin.

ELLE. Une philosophie du soin qui induit un autre rapport au corps ?

E.Z. Précisément ! C'est une médecine qui permet de trouver en soi-même des ressources insoupçonnées, de se faire confiance et de découvrir le pouvoir du psychisme sur le corps. Or ce pouvoir est incroyable : une anesthésiste du CHU de Liège expliquait qu'elle avait fait 5000 anesthésies sous hypnose. Elle expliquait aussi comment elle pouvait induire une diminution des saignements lors des opérations : en suggérant des images de froid polaire, elle provoquait une vasoconstriction. Il faudrait que la médecine s'intéresse à ça. On a des capacités psychiques formidables, le problème, c'est que, dans notre société marchande, on nous dissuade de les utiliser pour pouvoir nous vendre ce dont on a besoin. Alors que ce dont on a besoin, on l'a en nous.  

Interview d’Elisabeth Weissman

*Auteur de « La Force de guérir » et « Le Goût de vivre, retrouver la parole perdue » (Odile Jacob).

VOCATION OSTEO

L'ostéopathie tente de plus en plus de jeunes praticiens. Qui sont-ils, comment sont-ils formés ? Portrait d'une génération.

« Ostéopathe » : ta plaque dorée fleurit au pied de nos immeubles. Kinés, médecins ou praticiens exclusifs, ils sont déjà plus de 10 000 à panser nos maux, armés de leurs dix doigts et de la méthode fondée au XIXe siècle par le Dr Still. Mieux : depuis que la loi Kouchner, en 2002, a reconnu cette profession, les jeunes candidats affluent. Privées ou universitaires, rapides ou à rallonge, les formations affichent complet. « Nous avons cinq fois plus de demandes que de places », souligne Thierry Jallais, directeur de l'Institut des hautes études ostéopathiques.
Dans ses rangs, les rejetons de cadres sup' sont légion.
Logique : pour un cursus de 5 000 heures, comptez au bas mot 36 000 €. « Souvent, les étudiants ont été soignés et convaincus par l'ostéopathie, précise la sociologue Evelyne Bailly. Beaucoup sont néanmoins des recalés de médecine. D'autres sont des kinésithérapeutes déçus par leur pratique ou désireux de s'affranchir de la tutelle des médecins. »

Et puis il y a les passionnés, comme Kristel Haby, 28 ans, installée à Rennes après six ans d'études d'ostéo. « Pour un problème de pied, on va examiner les chevilles du patient, ses genoux, son bassin, son crâne, l'interroger sur son hygiène de vie, son alimentation, explique-t-elle. Cette approche globale, sans chimie, est complémentaire de la médecine dite dure.
D'ailleurs, mes confrères généralistes, pédiatres ou dentistes m'envoient leurs patients, et inversement. ». Sa clientèle ?
Des bébés malmenés par les forceps, des profs migraineux, des agriculteurs coincés du cou, des handicapés, des sportifs...
Bref, des malades lambda, à ceci près qu'ils déboursent 50 € par séance de 30 minutes minimum. « Notre salaire moyen flirte avec celui du généraliste, note Thierry Jaliais, et une vraie relation de confiance nous lie à nos patients. »
Mais en attendant les décrets d'application de la loi Kouchner, les ostéos ne bénéficient ni d'une formation reconnue ni d'un diplôme d'Etat. Pourtant, ils dispenseraient déjà 15 millions de consultations par an.

S.H.


L'EMDR, LA PETITE DERNIERE

Mise en avant en France par David Servan-Schreiber (1), l'EMDR (« Eye Movement Desensitization and Reprocessing ») séduit un nombre grandissant de psys (500 certifiés ou en cours de formation) (2) et de patients. Le point sur une thérapie dont on se demande si elle fonctionne, comment et dans quels cas.

DE QUOI S'AGIT-IL ?

Mise au point en 1987 par Francine Shapiro (3), cette thérapie associe un ensemble de procédures empruntées aux TCC (thérapies cognitivo-comportementales) et des séquences de stimulations, oculaires le plus souvent, d'où son nom (« intégration neuro-émotionnelle par les mouvements oculaires »). Constatant que des mouvements rapides des yeux la libéraient de pensées négatives obsédantes, la psychologue américaine décide d'approfondir sa découverte et fonde l'EMDR.

Notre cerveau possède un système de traitement qui lui permet de digérer les informations reçues. Après un traumatisme (accident, viol, attentat, deuil), ce processus d'assimilation peut s'enrayer et générer un état de stress post-traumatique (ESPT) : on continue de souffrir (peurs, cauchemars, flash-back, douleurs physiques...). L'EMDR permettrait de faire face à un événement douloureux mal digéré.

L'EMDR permettrait, grâce à des mouvements rapides des yeux, de réorganiser la mémoire et de digérer d'anciens traumatismes.

COMMENT ÇA SE PASSE ?

Le thérapeute EMDR suit un protocole très précis : une à plusieurs séances d'évaluation sont nécessaires pour cerner la souffrance du patient et sélectionner les images associées au traumatisme subi. Les stimulations peuvent alors commencer.

Le patient évoque l'image douloureuse tout en suivant des yeux la baguette que le thérapeute déplace rapidement de droite à gauche devant lui. De temps en temps, celui-ci lui demande d'évaluer l'émotion ressentie sur une échelle de 1 à 10.

« Au cours du traitement, la perception de l'événement se modifie : elle passe du traumatisme au souvenir désagréable », constate le Dr Christian Zaczyk, psychiatre (4). Trois à douze séances sont nécessaires, souvent éprouvantes.

COMMENT ÇA MARCHE ?

Les mouvements rapides des yeux favoriseraient, comme dans les phases de rêve, le mécanisme de réorganisation de la mémoire, donc la «digestion» du traumatisme.

«Le patient fait simultanément l'effort de se souvenir et de suivre attentivement les mouvements de la baguette du thérapeute ou les sons dans un casque, il est possible que l'attention engagée dans la première tâche diminue l'intensité émotionnelle liée au souvenir et permette ainsi au sujet une "exposition" à son souvenir alors que, habituellement, il évite de le revivre », avance le Pr Franck Baylé, psychiatre à Sainte-Anne.

LES PREUVES DE SON EFFICACITE

« C'est une technique dont on ignore encore comment elle fonctionne mais elle fonctionne, constate le Pr Baylé. Son côté chamanique et alternatif ne doit pas faire oublier les résultats significatifs des études menées dans le traitement des états de stress post-traumatique. » (Ndlr : ex.: rapport Inserm 2004).

Mais l'EMDR n'est pas la panacée : « Les TCC sont plus appropriées dans le traitement des phobies, paniques et troubles obsessionnels compulsifs (TOC) », affirme le Dr Patrick Lemoine, psychiatre. « Quand la pathologie est un peu floue, comme un trouble anxieux généralisé, ou un problème existentiel, l'EMDR ne convient pas», ajoute le Dr Zaczyk.

CE QU'EN DISENT SES DÉTRACTEURS

Que la méthode paraît trop belle et trop rapide pour être crédible.
Que certains thérapeutes EMDR jouent les gourous et l'utilisent n'importe comment. Que l'on ne supprime pas impunément un symptôme (risque que celui-ci se déplace). Que la disparition durable d'un trouble psychologique est illusoire sans travail profond (donc long).

[ Ndlr :
1) « dire qu'il faut du temps pour que les choses changent, c'est un non-sens », écrit Jacques Roques --psychanalyste et thérapeute EMDR (5)— « comme dans tous les domaines, pour obtenir une transformation, il faut et il suffit de faire exactement les actes qui conviennent. » : « le thérapeute ne doit en aucun cas être l'esclave d'un dogme, car souvent on se trompe de traumatisme, le problème essentiel n'ayant pas été traité ! ...  pensez-vous qu'un élève qui approfondit son baccalauréat pendant trois années consécutives soit plus performant que celui qui l'obtient du premier coup, avec mention ? Peut-on même dire qu'il est plus sérieux, plus méritant ? Prosaïquement je dirais qu'il "rame" et sans doute qu'il désespère de tourner ainsi en rond. »

2) « Les réserves émises au début par les psychanalystes sur la possibilité de substitution de symptômes ("supprimez la phobie et le patient se couvrira d'eczéma") ou sur les rechutes systématiques ("tant que le problème de fond ne sera pas réglé, les symptômes reviendront ") n'ont jamais été confirmés par la moindre étude. ». Mais ici, les idées reçues ont la vie dure !!

« Contrairement à ces critiques [avancées le plus souvent par certains psychanalystes], les résultats de l'INSERM montrent que la supériorité des TCC [dont l’EMDR ] est maintenue pendant les mois et les années suivant la thérapie (pour certains troubles, la période de suivi dure jusqu'à 6 ans). De plus, aucune des 1000 études scientifiques examinées n'a constaté un déplacement, ou une substitution, des symptômes pour les TCC. »
A noter que justement, d’après cette longue étude de l’INSERM, ce fameux retour de symptômes, il s’en est davantage produit après des psychanalyses...

« Nul praticien informé et objectif ne peut encore affirmer aujourd’hui, par exemple, que le fameux « déplacement » des symptômes après réussite d’une TCC est vérifié dans les faits comme [les psychanalystes] l’affirment. »
(Dr Antoine Pelissolo, la Salpêtrière, Paris)

« Notons que ces retours de symptômes -minoritaires en TCC- peuvent concerner toutes les formes de psychothérapies, y compris la psychanalyse, puisque des recherches minutieuses ont montré que les patients 'historiques' de cette discipline [la psychanalyse], dont les cas sont depuis des lustres présentés comme des preuves par les psychanalystes, ont presque tous été des échecs thérapeutiques, avec une absence d'amélioration, ou des rechutes rapides, ou même des aggravations. » !
(Christophe André, psychiatre, auteur de "Psychologie de la peur", entre autres).

« Après un long parcours psychanalytique, j’ai abandonné cette approche dans ma pratique pour le plus grand bien de mes patients. Je vois tous les jours les dégâts, y compris chez des patients pris en charge par des psychanalystes ayant pignon sur rue et qui se targuent de détenir la vérité (le mythe du déplacement de symptôme, le travail en profondeur de la psychanalyse). La désinformation sur les autres pratiques prive nos concitoyens d’un soulagement de leurs troubles. Faisons évoluer les choses... ».
(Christian Zaczyk, psychiatre, thérapeute EMDR, auteur de «Comment avoir de bonnes relations avec les autres»). ].

CE QU'EN DISENT CEUX QUI LA PRATIQUENT

« La formation ne m'a pas convaincu. La pratique, si, résume le Dr Lemoine. Mais il faut que les gens aient au moins une image de ce qui s'est passé. La bonne indication : les personnes équilibrées qui ont "plongé" à la suite d'un traumatisme, même ancien.

Certains font de l'EMDR un fonds de commerce et élargissent les indications, mais cet excès d'engouement risque de nuire à l'EMDR comme il a pu nuire à la psychanalyse et aux TCC.»

Les recherches continuent pour mesurer ses effets sur certaines phobies, paniques (quand il y a un choc initial) ou dépression réactionnelle.

Où S'INFORMER ?

Auprès de l'association EMDR-France, www.emdr-France.org, tél. :01 46 245502.

Attention aux thérapeutes qui s'improvisent spécialistes : pratiquer l'EMDR ne se résume pas à faire bouger les yeux (Ndlr : protocole rigoureux en 8 phases, praticien expérimenté, formation exigeante).
Coût de la séance : de 60 € à 180 € (Ndlr : pour des séances de 1 à 2 heures).

Isabelle Sansonetti

(1) Auteur « Guérir le stress, l'anxiété et la dépression sans médicaments ni psychanalyse », (Robert Laffont).
(2) Selon David Servan-Schreiber, président de l'association EMDR-France.
(3) Coauteure avec Margot Silk Forrest du livre « Des yeux pour guérir » (Seuil).
(4) Auteur de « Comment avoir de bonnes relations avec les autres » (Odile Jacob).
(5) Auteur de « EMDR, une révolution thérapeutique » (Desclée de Brouwer).
Source : Magazine ELLE - 20 mars 2006

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Message par carolette Dim 18 Mar 2012 - 22:39

Euh qu'est-ce qui te met en colère exactement, Thérèse, mmhummm ??

Caro
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Message par admin therese Lun 19 Mar 2012 - 7:51

Hello Carole

As-tu lu cette molécule qui rend fou ?le témoignage de Carole en suisse est plus qu'édifiant !et j'en ai marre de lire tous ces méfaits ...

Après il faut se sevrer de ces cochonneries et tu sais comme moi que ce n'est pas une mince affaire !!

Voilà ma rogne .

Bisous
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Message par carolette Lun 19 Mar 2012 - 11:24

Eh voui, tu le sais bien chère Thérèse que j'ai vu le témoignage de Carole de Suisse...

Et moi je savais bien que j'allais me faire "houspiller" par toi pour ma question, warffff... clown

Bien sûr qu'on peut être en colère, mais je crois justement que Carole Suisse dit que ça ne sert plus à rien (pas dans la vidéo...), qu'à nous faire du mal... qu'il faut prendre du recul...
J'applique d'ailleurs cette méthode en voiture... dans les embouteillages par exemple, en me disant que la colère ne me fera pas avancer plus vite... Je suis très zen au volant, mes passagers n'en reviennent pas... lol!

Bizzzzzzzzzzzzzzz

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Message par admin therese Lun 19 Mar 2012 - 11:38

Ben vi !c'est toi qui m'a donné le lien sur ce témoignage !mais j'ai quand même envie de me mettre en rogne !!!na et na !!


Dernière édition par admin therese le Lun 19 Mar 2012 - 14:00, édité 1 fois
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Message par carolette Lun 19 Mar 2012 - 13:02

Attention de ne pas exploser, chère Thérèse ! on a besoin de toi, ici !! sunny

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Message par admin therese Lun 19 Mar 2012 - 14:00

Merci !mais ....je garde un fond de rogne...
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