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La maladie , relation avec les émotions

3 participants

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La maladie , relation avec les émotions  Empty La maladie , relation avec les émotions

Message par admin therese Ven 5 Déc 2014 - 13:44

http://www.sante-nutrition.org/maladie-mal-dit-relation-les-emotions-les-maladies/

Le ressentiment, les regrets, la haine, forment dans notre être une accumulation de nœuds, tout comme la petitesse, les envies, la jalousie. Nos peurs et nos sentiments négatifs forment des nœuds, des barrières, des kystes émotionnels… Ces nœuds, tout comme des détritus dans un ruisseau, forment des barrages, et empêchent la force de vie et le flux d’énergie de circuler harmonieusement.

Cette stagnation d’énergie, comme des déchets au fond d’une poubelle, finissent par créer des maladies, le mal a dit….ce que nous ne disons pas…. Niveler ces nœuds par la sérénité, l’acceptation de ce qui est, l’oubli, le pardon, c’est laisser à nouveau circuler la vie, l’amour, et la laisser irriguer tout notre être. « Tout m’est donné, et je redistribue tout ce qui m’est donné… » « Je vis sans peur, ni de la pauvreté, ni de la maladie »

Cette affirmation, quand elle est dite avec confiance, irradie, propulse un merveilleux échange, tout le mystère de la charité y vibre et cette vibration empêche l’écoulement dans le néant. Tout m’est donné, je donne tout….rien ne se perd.
Voilà le grand mouvement dans lequel il faudrait s’incorporer pour être serein, confiant.
http://nirvana-sante.blogspot.ch/2011/08/le-mal-dit.html

Relation entre les émotions et les maladies
« Tout ce qui ne s’exprime pas s’imprime! » Toutes les émotions que vous refoulez à l’intérieur de vous-même parce que vous ne pouvez pas ou ne voulez pas les verbaliser, peuvent se cristalliser dans différentes parties de votre corps.

Les émotions génèrent des symptômes physiques, par exemple LA PEUR, L’ANGOISSE donnent des palpitations cardiaques, vertiges, sueurs, tremblements, mains moites.

LA PANIQUE peut provoquer des diarrhées.
LA COLÈRE retenue,
LA RANCUNE : une crise de foie.
LA DIFFICULTÉ A TROUVER OU A PRENDRE SA PLACE peut provoquer des infections urinaires à répétition.
QUELQUE CHOSE QU’ON NE VEUT PAS ENTENDRE OU QUAND ON NE VEUT PAS S’ÉCOUTER, des otites, douleurs d’oreilles.
QUELQUE CHOSE QU’ON N’A PAS OSE DIRE, QU’ON A RAVALE, une angine, des maux de gorge.
UN REFUS DE CÉDER, DE PLIER, D’OBÉIR OU DE SE SOUMETTRE, des problèmes de genoux.
PEUR DE L’AVENIR, PEUR DU CHANGEMENT, PEUR DE MANQUER D’ARGENT, des douleurs lombaires.
INTRANSIGEANCE, RIGIDITÉ, douleurs cervicales et nuque raide.
CONFLIT AVEC L’AUTORITÉ, douleurs d’épaules.
TOUT PRENDRE SUR SOI, également douleurs d’épaules, sensation d’un fardeau.
SERRER LES DENTS POUR AFFRONTER QUELQU’UN OU UNE SITUATION SANS RIEN DIRE…douleurs dentaires, aphtes, abcès.
PEUR DE L’AVENIR, DIFFICULTÉS A ALLER DE L’AVANT, OU BESOIN DE « LEVER LE PIED »: douleurs dans les jambes, les pieds, les chevilles.

Bien sûr, il ne faut pas généraliser, ça peut être tout simplement un problème mécanique, faux mouvement, coup de froid….mais si vous ne trouvez pas d’explications, essayez de réfléchir à ce qui se passe dans votre ressenti.
Au besoin, faites la thérapie par l’écriture, écrivez ce qui vous préoccupe, et brûlez ou déchirez. Ca permettra à l’émotion de s’évacuer. (source)

____________________________________________________________
Je vous conseille le super bouquin de Jacques Martel « le grand dictionnaire des malaises et des maladies » aux éditions Quintessence Wink

Ces articles en sont inspirés :

- Origines émotionnelles possibles de la FIBROMYALGIE

- Causes émotionnelles des maladies du FOIE ET DE LA VÉSICULE BILIAIRE

- Causes émotionnelles des maladies : LA GLANDE THYROÏDE

- Causes émotionnelles des maladies : LES HERNIES

- Causes émotionnelles des maladies des GENOUX

- Causes émotionnelles des maladies : LES ENTORSES

- Origine émotionnelle possible des maladies LA PEAU, eczéma, acné, psoriasis

- Origine émotionnelle possible des maladies DES SEINS

- Origine émotionnelle possible des douleurs de JAMBES, HANCHES, BASSIN

- Émotions en relations avec les douleurs DES BRAS

- Émotions en relation avec les douleurs des ÉPAULES

- Émotions en relation avec les douleurs de LA NUQUE

- Émotions en relation avec les douleurs aux talons, chevilles

- Lise Bourbeau et la sclérose en plaques:

Blocage émotionnel:
La personne atteine de sclérose en plaques est du genre à vouloir se durcir pour ne pas souffrir dans certaines situations. Elle perd toute souplesse ce qui l’empêche de s’adapter à quelqu’un ou à une situation.
Elle a l’impression que quelqu’un joue avec ses nerfs et une révolte intérieure s’installe contre cette personne. Ayant dépassé ses limites, elle s’abandonne complètement et ne sait plus de quel côté aller.
On dit aussi d’une personne sclérosée qu’elle est figée, n’évolue plus. Elle désire que quelqu’un la prenne en charge mais elle se force pour ne pas paraître dépendante car elle ne veut pas avouer sa dépendance.
C’est le genre de personne qui voudrait que tout soit parfait et qui s’en demande beaucoup. Elle veut plaire à tout prix.
Comme elle ne peut y arriver seule à satisfaire cet idéal non réaliste, en devenant handicapée, cette personne se donne une excuse pour ne pas avoir la vie parfaite qu’elle désire. Elle a aussi beaucoup de difficulté à accepter que les autres qui en font moins qu’elle, en aient plus qu’elle.

Blocage mental :
Plus la maladie est grave et plus ton corps t’envoie un message important et urgent. Il te dit de laisser sortir ta douceur naturelle et d’arrêter de te durcir, c’est-à-dire d’être dur envers toi-même et d’avoir des pensées dures envers les autres.
Donne-toi le droit d’être dépendant au niveau affectif avant de le devenir complètement avec ta maladie.

Lâche prise, tu n’as plus besoin de t’en demander autant. Je te suggère de regarder l’idéal de personne que tu essaies d’atteindre et de réaliser que cet idéal est au-delà de tes limites. Tu n’as rien à prouver à qui que ce soit.
Tu n’as plus à entretenir cette grande peur de déplaire qui t’empêche d’être toi-même. De plus, cette attitude t’empêche d’évoluer comme ton coeur le désire.

Il se peut fort bien que tu aies tellement été déçu de ton parent du même sexe, que tu fais tout maintenant pour ne pas être comme lui ou elle, ce qui a pour effet de trop t’en demander.
L’acceptation et le pardon (surtout envers toi-même pour avoir tant jugé ce parent) peuvent avoir un effet considérablement bénéfique pour ta guérison.

Source : Ton corps dit: « Aime-toi! » -Lise Bourbeau

- Jacques Martel et la sclérose en plaques :

C’est comme si mon corps était piégé, placé dans une cage et de plus en plus limité dans l’enchaînement de ses mouvements. Si je suis atteint de sclérose en plaques, je suis généralement affecté par de grandes souffrances me faisant voir la vie avec découragement.

Quelque chose ou quelqu’un me paralyse, je me sens coincé.
Je ne suis plus fringant face à la vie.
La vie manque de douceur, de miel (sé-myel-inisation). Une profonde révolte anime tout mon être.

Je me sens obligé de devoir tout faire moi-même; étant très perfectionniste et intransigeant, je refuse de me tromper et j’accepte difficilement de l’aide.
J’accepte difficilement les contraintes, spécialement celles qui me proviennent de ma famille.
J’ai une volonté à toute épreuve.
Je prends conscience que je dois, pour ce faire, être très dur avec mes pensées et rester éloigné de mes émotions. La pensée de l’échec me terrorise.
J’ai de la difficulté à me pardonner et à pardonner aux autres. Je peux m’en vouloir d’avoir laissé filer une opportunité.

Je crains d’être laissé pour compte, d’être plaqué là. J’ai très peur qu’on me laisse tomber.
Je peux aussi avoir peur de tomber, autant au sens propre qu’au sens figuré, et craindre que cette chute entraîne la mort. Toutes ces peurs impliquent un déplacement vertical et qui peuvent m’amener à croire que ma vie est en danger peuvent déclencher la sclérose en plaques.

Ce peuvent être la chute d’une échelle, le risque de tomber dans un précipice, la perte abrupte d’altitude dans un avion, quelque chose qui me tombe sur la tête, etc…
D’une façon symbolique, « tomber en amour » ou « tomber enceinte » devient dangereux pour moi.
La chute peut dont être physique, morale ou symbolique. Je trouve toutes ces situations bouleversantes, renversantes et je suis sidéré.
J’ai peur de tomber de très haut ou « que la mort me tombe dessus.

Je peux aussi me sentir dégradé par quelqu’un d’autre ou j’ai peur de perdre mes grades, une position privilégiée par exemple dans mon travail.
J’ai l’impression de ne plus avoir aucun avenir.
Très souvent, je me juge ou je peux juger les autres très sévèrement, ce qui entraîne un grand sentiment de dépréciation, de dévalorisation et de diminution de ma personne.
Lorsque je me sens diminué, rabaissé, j’ai l’impression que la vie m’écrase et j’ai tendance à ramper au lieu de me tenir droit,
Je peux même m’arrêter, m’immobiliser n’ayant plus la force d’avancer, de me mouvoir.

Ainsi, c’est d’abord par mes jambes que la maladie manifeste ses premiers signes et que je peux avoir l’impression d’être écrasé. Être de moins en moins capable de marcher, de me déplacer, de bouger, peut me donner l’impression que je suis plus en sécurité ainsi.

Le fait de ne plus pouvoir avancer peut m’empêcher de faire face à une situation que je veux éviter à tout prix…
… Quel que soit mon âge, on ne m’autorise pas à avoir des projet, à grandir, à donner mon avis.
Je prends sur mes épaules de réaliser les désirs de ma mère ou de mon père: je deviens « leurs bras et leurs jambes ».

Je me rends vite compte que je suis impuissant à jouer ce rôle. J’en viens à ne pas me trouver assez bon pour eux.
Ma défense à toutes ces peurs qui m’habitent sera de vouloir tout contrôler, de vouloir que tout se passe comme je le veux.
La critique, qui est souvent dirigée vers moi-même, emprisonne ma vie.
Je crois que la souffrance fait partie de mon lot de tous les jours et que je ne mérite pas le repos.

Mes efforts pour me dépasser sont constants et, malgré tout, toujours insuffisants.
Mon corps fatigué refuse ainsi de poursuivre cette lutte du plus fort et veut me faire comprendre que je peux aussi avoir besoin des autres et que j’ai à apprendre à faire confiance.
Je résiste au bonheur, à ma valorisation .
Je me renie.
Le fait qu’on m’ait déjà dénigré et abaissé me fait croire que je ne vaux pas grand chose.
Je suis comme un arbre qui plie. Je me sens anéanti.

Je me détruis tellement avec ma pensée que c’est maintenant la maladie qui me détruit.
L’inflammation implique une rage brûlante et très émotionnelle, pouvant affecter toute mon existence. Je peux me questionner : « Est-ce que je souhaite vraiment être libre? »

Je peux inconsciemment, de cette façon, me venger de quelqu’un qui gravite dans mon univers et qui ne m’a pas manifesté suffisemment d’amour!
Cette forme de cage, dans laquelle mon corps se retrouve, me protège peut-être de devoir admettre mes vrais sentiments!
En me taisant ainsi, je me sens dans l’obligation d’emprunter certaines routes pour faire plaisir aux autres au lieu d’avancer dans la direction que je veux prendre.

Au lieu d’être dans le mouvement et le changement, je suis dans la stagnation, l’inertie.
Puisque je ne veux plus rien sentir, mes nerfs sensitifs sont atteints. La répression émotionnelle peut me conduire à une incapacité d’aller de l’avant dans mes émotions, entraînant ainsi une confusion musculaire et mentale.

Lorsque je suis atteint de sclérose en plaques, je deviens dépendant des autres. Je deviens comme un enfant qui a besoin de quelqu’un pour s’occuper de ses besoins de base. Je dois m’accrocher aux autres, m’agripper pour ne pas tomber, autant physiquement qu’émotionnellement.
Je dois me demander si mes responsabilités en tant qu’adulte sont trop lourdes à porter.

Je préfère peut-être retourner dans un état de dépendance au lieu de toujours avoir à faire les efforts pour acquérir ou garder ce que je possède.
J’étais tellement bien quand ma mère veillait sur moi… Je la trouvais admirable. Mais je ne verrai plus jamais la douceur de ces yeux… J’ai maintenant l’impression que ma vie est sans cesse agitée, en pleine effervescence.

Mon corps me dit de lâcher prise, de me libérer de mes chaînes. La clé se trouve à l’intérieur de moi.
J’accepte de faire confiance à mon guide intérieur et je reconnais en chacun la présence de ce guide, qui amène chaque personne à agir au mieux de sa connaissance. Je manifeste alors plus de flexibilité et de compréhension.

J’accepte de donner un sens à ma vie. Je reprends la maîtrise de ma vie en assument pleinement mes sentiments. L’approbation des autres n’est plus nécessaire . J’accueille les sentiments qui m’habitent. Ils font partie de moi.
Je laisse derrière moi les commentaires négatifs qu’on a pu avoir à mon sujet, autant de ma famille que de tout mon entourae. Je me donne plus de douceur. Je suis le flot de la vie et de ces douceurs, ce qui me permet d’évoluer harmonieusement. Je laisse mon costume de clown pour laisser transparaître ma lumière intérieure. La paix intérieure grandit chaque jour.

Source:Le grand dictionnaire des malaises et des maladies- Jacques Martel

Zen en soi

D’après Colette d’Hollosy et Josette Sauthier.
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La maladie , relation avec les émotions  Empty Re: La maladie , relation avec les émotions

Message par esperance Sam 6 Déc 2014 - 6:11

Tiens, tiens je reconnais quelqu'un là-dedans, ça explique bien des choses.

Merci Thérèse pour ce partage.
La colère et la rancune font plus de ravages sur le corps que l'on ne croit.
J'essaie de ne pas me laisser envahir par ces deux émotions.
Bonne journée
Sylvie
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Message par admin therese Sam 6 Déc 2014 - 8:37

http://www.soins-alternatifs.ch/redactionnel/detail.php?ref=45

Je suis allée faire connaissance avec le québécois Jacques Martel, auteur du livre, entre autres, « Le grand dictionnaire des malaises et des maladies », lors de son passage à Genève. Il nous a présenté sa conférence sur "les 5 étapes pour parvenir à la guérison".

Cette conférence s’est déroulée dans les locaux de HP Formation aux Acacias ; accueil cordial par les organisateurs de cette soirée.



Pour ceux qui ne connaissent pas Jacques Martel, il me parait important de le laisser se présenter à vous :

Jacques Martel a fait ses "premiers pas" en Suisse en juillet 1998 puis est resté absent du pays entre 2000 et 2007.

Sa formation de base est : ingénieur électricien. Il lui est complexe de mettre en mots sa « médecine » ; disons que sa pratique facilite la transmutation des énergies du cœur, « la chimie du cœur ».

Depuis tout jeune il avait une certaine sensibilité et quelques problèmes de santé. Lorsqu’une personne brisait la branche d’un arbre, il ressentait quelque chose à l’intérieur de lui. Ne sachant comment diagnostiquer cela, cela a été classé en « maladie nerveuse ».

Jacques Martel n’était pas satisfait par cette réponse et a fait sa propre recherche personnelle et spirituelle. C’est ainsi qu’entre 1978 et 1988, il a travaillée en vitaminothérapie.

Il a commencé à participer à des ateliers de croissances personnelles dès 1988 ce qui lui a permis de guérir, de se libérer de ses blessures.

Ensuite Jacques Martel a créé ses propres ateliers dès 1990.

« Tout s’est toujours bien passé » car à l’écoute de son intuition, aidé des Guides de Lumière.

Cela l’a amené, en 1991, à l’idée d’écrire un livre complet sur la métaphysique des maladies. Le 1er avril 1998 sortait son livre « Le grand dictionnaire des malaises et des maladies », 1ère édition, qui s’est vendu en 120'000 exemplaires jusqu’à 2007.

En 2007 est sortie la 2ème édition, augmentant les informations sur les différentes maladies de 75% ; 80 maladies ont été ajoutées, soit 2000 heures de travail !

Jacques Martel a aussi écrit d’autres livres, édités au Québec, tels que : « ATMA - Pouvoir de l’Amour », « Entre l’Esprit et le Cœur ».



Revenons à la conférence qui va nous permettre d’apprendre « Les 5 étapes pour parvenir à la guérison », sujet faisant suite à 20 ans de pratiques.



Nous voici partis pour un sympathique partage de deux heures et trente minutes... de bonheur au rythme de son charmant accent canadien !



La première étape, est « la connaissance » :

La connaissance du corps physique, des méridiens, des énergies (Reiki) et de la métaphysique ou médecine de l’âme vont aider à trouver les bonnes techniques.

Pour Jacques Martel, il n’y a pas de maladie sans stress. Une interprétation d’un manque d’amour crée un conflit et stress émotionnel qui va créer à son tour un stress de maladie. Un cancer ou une grave maladie est un état de « sur-stress ».

Là, Jacques Martel nous fait part de ses convictions mais nous sommes libres de penser et d’accepter comme bon nous semble.

Voici quelques exemples donnés :

- Un conflit de dévalorisation déclanche un cancer généralisé.

- Un stress pour ses enfants ou tout autre personne (conjoint) ou chose (projet professionnel) considéré comme un « enfant » peut provoquer un cancer du sein aussi bien chez la Femme que chez l’Homme.

- La sclérose en plaque est assimilée au mot « tomber », laisser tomber.

- Le SIDA est lié à une blessure d’Amour : Souvenir Inoubliable D’un(e) Ami(e). Certaines personnes sont passées de séropositives en séronégatives, sans traitement !

- etc...

Il est utile de savoir qu'une prise de conscience et le fait de libérer nos colères peuvent faire éviter une opération et même permettre de guérir.

La thérapie par le rire, la joie de vivre, peut s’avérer aussi très efficace pour guérir un cancer de la rate et du pancréas.

Ne pas oublier que si nous ne nous sentons pas concerné, nous pouvons occulter la maladie en gérant notre stress. Par contre des personnes proches de nous peuvent développer la maladie : conjoint, enfants, parents.

Les connaissances que nous avons aujourd’hui de la loi de la biologie et autres contribuent fortement à nous amener vers notre guérison.



La seconde étape est « l’ouverture » :

"Plus je m’ouvre, plus je me découvre".

Il faut être ouvert à de nouvelles idées pour utiliser les connaissances acquises. Nous devons nous ouvrir à d’autres possibilités… d’autres approches, d’autres thérapies et trouver celle qui nous convient.

Certaines thérapies sont complémentaires ; c’est le cas du Reiki. Le travail sur les énergies permet de diminuer notre stress et de nous ouvrir à la guérison.

Il en est de même avec une écoute active : nous pouvons nous sentir concernés par certains mots… qui vont nous ouvrir à la guérison et parfois nous amener à d’autres thérapies.

Restons ouvert à ce qui se présente à nous…



La troisième étape est « l’acceptation »:

"Je ne peux rien changer que je n’ai pas accepté."

Accepter ne veut pas dire « être d’accord ». Je peux ne pas être d’accord, mais je dois « accepter que j’ai quelque chose à comprendre en mon cœur ».

Exemple : lors d’une consultation, on peut, par l’acceptation, guérir instantanément d'un viol.

Jacques Martel nous parle de la technique qu’il emploie dans ses ateliers avec « La boule de Lumière ». On dépose dans cette boule toute notre négativité ; il en ressort que du positif. Le conflit qui est l’interprétation du manque d’amour se transforme en encore plus d’amour.

IMPORTANT : "J’attire ou devient ce que je n’ai pas accepté de l’âge de 0 à 12 ans."

On trouve dans cette phrase toutes les clefs pour accéder à notre guérison.

Tant que ce ne sera pas accepté, cela va se répéter !

Depuis le moment de notre naissance, nous avons toujours fait de notre possible.

Nos sentiments de culpabilité doivent être mis à la poubelle !

Lorsque quelque chose me dérange, il faut aller chercher ses blessures, les accepter…

Quand je suis « en réaction », je suis dans mes blessures… de 0 à 12 ans !

Exemple : J’accepte ma pauvreté parce que j’ai quelque chose à comprendre, quelque chose à changer. Tel est le secret ! Je dois comprendre dans le cœur. L’acceptation est la clef principale… Travailler positivement sur soi va avoir des répercussions sur nos enfants.



La quatrième étape est « le lâcher prise » ou « le laisser aller » :

Il faut savoir se détacher du vieux… vieilles idées, vieilles habitudes, vielles affaires. Il faut savoir se désencombrer… faire un trait sur le passé et vivre le présent. Il faut avancer !

Le lâcher prise va avec l’acceptation.

Exemple : Il faut savoir lâcher prise au départ... accepter la mort prochaine… d’un malade en phase terminale. Il faut s’ouvrir à ce départ.



La cinquième étape est « l’Action » :

Ayant pris conscience des 4 étapes précédentes, il faut agir et… acheter le « Le grand dictionnaire des malaises et des maladies » ???...

On va y chercher la connaissance qui va nous aider à l’ouverture d’autre chose, nous aide à accepter ce qui s’est passe ; à faire un lâcher prise et à passer à l’action !

Maintenant nous avons entre nos mains « les 5 étapes… pour nous permettre de… parvenir à notre guérison ».



Jacques Martel répond à quelques questions et parle ensuite des ateliers effectués au Canada et en Suisse. Quelques pratiques utiles y sont enseignées : la « Boule de Lumière » et les « petits bonhommes allumettes » servant à couper tous les liens d’attachements conscients et inconscients. Ces liens sont à couper aussi bien avec la personne avec laquelle nous sommes en conflit qu’avec celle à qui nous sommes le plus attachée. Il n’est conservé que notre lien d’Amour et de Lumière… Rien que du positif pour nous amener le chemin notre chemin de notre guérison.



Je vous invite à aller retrouver Jacques Martel sur son site : www.atma.ca ! Vous y trouverez livres, CDs et vidéos.



Merci Jacques Martel pour ta venue en Suisse, ta convivialité et ton écoute. Et comme le dit si bien la chanson : « Ce n’est qu’un au revoir… » ! Nous l’espérons… de tout cœur !

Annie GIRARD
Pour SAJ de SOINS ALTERNATIFS

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Commentaire(s) des internautes

Les remarques qui suivent sont les avis des internautes au sujet de ce rédactionnel.
SOINS ALTERNATIFS n'est pas responsable du contenu des remarques.


Alia Eyes a écrit le 24/04/2008

Il faut faire très très attention en mettant ce genre d'exemples ! On ne peut pas généraliser aini, cela doit être au niveau de l'individu. Et on ne peut juste résumer ainsi car derrière il y a beaucoup de réflexions, du travail qui est fait... et du on réduit a un seul mot. C'est dangereux que de faire cela, très dangereux !
D'autant plus que cela peut être associé à un secte (voir toute la polémique en France...)
Certes de parler de Jaques Martel, c'est bien, mais n'écrivez pas ce genre de choses et laisser les gens assister a la conférence ou lire les livres et ainsi par la suite ils peuvent comprendre la façon d'arriver aux conflits. merci
cordialement

Voici quelques exemples donnés :

Un conflit de dévalorisation déclanche un cancer généralisé.
Un stress pour ses enfants ou tout autre personne (conjoint) ou chose (projet professionnel) considéré comme un « enfant » peut provoquer un cancer du sein aussi bien chez la Femme que chez l’Homme.
La sclérose en plaque est assimilée au mot « tomber », laisser tomber.
Le SIDA est lié à une blessure d’Amour : Souvenir Inoubliable D’un(e) Ami(e). Certaines personnes sont passées de séropositives en séronégatives, sans traitement !
etc...


Il est utile de savoir qu'une prise de conscience et le fait de libérer nos colères peuvent faire éviter une opération et même permettre de guérir.



Heinz Reber a écrit le 08/05/2008

Je ne peux être d'accord avec toute affirmation réductrice à des schémas qui enferment. En ce sens je comprends la réaction de Alia Eyes.
Mais par ailleurs, une autre affirmation me tient à coeur. C'est de dire que toutes les opinions se trouvent dans l'humanité. Celles que nous exprimons et qui sont souvent une nouvelle façon de dire ce qui a déjà été découvert précemment. Lorsqu'un penseur, et je ne connais pas Jacques Martel, schématise ses découvertes et sa quête de la vérité, en la cristallisant dans des formules, j'admets que c'est la résultante de son parcours de vie. Le sien. Et qu'il cherche à le partager.
A nous d'en prendre connaissance, si nous le souhaitons, et de confronter ses idées aux nôtres. Dans la curiosité et la tolérance. Peut-être chacun-e d'entre nous y trouvera quelque chose qui pourrait être utile pour notre cheminement personnel.



Perrenoud Andrew a écrit le 21/06/2011

Jacques a dit:...
Bien-sûr que l'on peut mettre en cause les dire de Jacques Martel. Comme on peut mettre en cause tout ce qui se dit partout.
Le but de Jacques est de donner des outils que chacun doit adapter à sa propre situation. Mais connaissant Jacques Martel, sa sensibilité est telle que parfois il voudrait encore dire et faire plus.
Comme je le dit sur mon propre site www.doremi.li, notre santé est une harmonie. Chacun choisi ses instruments pour créer sa musique. Certains créent du classique d'autre du hard-rock. Certains choisissent un violon, d'autre une guitare électrique. Mais nous sommes responsables de ses propres choix et de leurs conséquences.
Je vous propose de rencontrer Jacques Martel durant un stage (du jeudi 27oct au 30 oct. 2011) pour suivre l'enseignement de sa "Technique d'Intégration par le Cœur TIC)
Pour plus d'info : www.doremi.li/martel.
Amicalement
Andrew Perrenoud
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La maladie , relation avec les émotions  Empty émotions refoulées et maladie

Message par admin therese Mar 13 Déc 2016 - 18:40

http://sain-et-naturel.com/blog-sante-emotions-refoulees-entrainent-maladie.html

Toutes les émotions que vous refoulez dans votre for intérieur, parce que vous n’arrivez pas à les verbaliser, peuvent se fixer dans différentes parties de votre corps.
Les émotions génèrent des symptômes physiques, par exemple la peur, l’angoisse donnent des palpitations cardiaques, des vertiges, sueurs, tremblements ou mains moites.
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La maladie , relation avec les émotions  Empty Re: La maladie , relation avec les émotions

Message par malula Mar 13 Déc 2016 - 19:31

Coucou à tous
Je me retrouve dans les problèmes de thyroïde, j'ai une hypothyroïdie dûe à un stress long et prolongé suite à un harcèlement moral lorsque je travaillais encore. Le stress a "bouffé" ma thyroïde, donc, médicament à vie, mais ce n'est pas plus grave que ça, je le vis très bien.
Bonne soirée Very Happy
malula
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Message par esperance Dim 1 Oct 2017 - 21:31

Les émotions existent pour une raison !

Le saviez-vous ? 
Chaque émotion est là pour vous aider. 

Oui oui, elles vous veulent du bien.

Vous laissez-vous facilement submerger ? 


  • La peur sert à vous protéger

  • La colère sert à vous défendre

  • La tristesse sert à réfléchir

  • Le dégoût sert à s'isoler

  • La surprise sert à vous remettre en question

  • La haine sert à vous mobiliser

  • La honte sert à vous recadrer

  • La jalousie sert à vous sécuriser

  • La panique sert à vous faire fuir pour vous sauver

  • ...etc.



Le problème n'est pas les émotion mais l'excès d'émotions.

Nous avons créé un Pack Spécial avec une technique avancée
de Programmation Neuro-Linguistique pour gérer facilement
les émotions. Si cela vous intéresse, jetez un oeil !

Tant qu'on a le contrôle, tout va bien.

Si on est submergé, cela devient problématique.

Voici donc 5 techniques simples pour gérer vos émotions :

[list="margin: 1.33em 0px 1.33em 40px; padding-right: 0px; padding-left: 0px; border: 0px; line-height: normal; width: auto; height: auto; float: none; color: rgb(68, 68, 68); font-family: arial, sans-serif; font-size: 12px; background-color: rgb(255, 255, 255);"]

[*]Méditer : prenez 20 minutes par jour pour remettre
votre esprit au centre de votre attention. Comprendre
ce qui vous tracasse, pourquoi, comment. Cela va 
vous permettre de moins vous laisser submerger.


[*]Analyser : le soir, faites un compte-rendu des émotions
désagréables que vous avez ressenties pendant la journée.
Demandez-vous pour quelle raison elles étaient là,
ce qu'elles avaient à vous dire... et évoluez !


[*]Personnalité : demandez-vous quelles sont les émotions
qui s'expriment le plus dans votre personnalité.
Ensuite, prenez le temps de vous demander de quelle
façon vous pouvez faire évoluer votre personnalité,
quelles sont les émotions que vous voulez ressentir
plus souvent, et allez chercher ces émotions le plus
souvent possible lors de la journée !


[*]Se distraire : vous êtes trop submergé par vos émotions ?
Changez-vous les idées, trouvez de nouvelles activités, 
reprenez le temps de vous habituer à vivre des choses
agréables sans vous pourrir la vie avec le désagréable...


[*]Exprimer : tenez un journal intime ! Écrivez ce que vous
avez ressenti pendant la journée, de quelle manière, 
confiez-lui tout ce qui vous passe par l'esprit, cela vous 
permettra de vous libérer d'émotions enfouies... tout en
pouvant lui dire des choses que vous ne pouvez peut-être
dire à personne d'autre... faites de lui votre confident !

[/list]
Si vous voulez aller encore plus vite, essayez dès maintenant
notre PACK sur la Gestion des émotionsvous serez bluffé
par la puissance de la technique qui s'y trouve !

Merci de votre attention et à très vite pour d'autres astuces !
Jean de l'équipe d'Hypno360°

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esperance
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